1. Valérie : l'insoupçonnée (6)


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Hétéro

    Les mains sur ses hanches, je dénoue le lacet qui ferme la robe, toute en la tenant fermée. — Tu dis être pudique. Mais là, en pleine nuit au milieu de la campagne… Nous sommes encore à deux bonnes centaines de mètres de la voiture et des premières habitations. Personne ne peut nous voir depuis le village. J’ouvre lentement sa robe et embrasse Valérie. Je fais peu à peu glisser la robe de ses bras. Le vêtement tombe sur la route; Valérie ne porte plus que ses talons. Je fais un pas en arrière pour contempler son corps nu au clair de lune. Je n’ai pas besoin de lui demander de se tourner, Valérie le fait d’elle même. Je reviens l’embrasser, ramasse sa robe et l’invite à reprendre chemin. Elle hésite, sourit et je suis sûr qu’elle doit rougir. — Tu me fais faire des folies. Une cinquantaine de mètres plus loin, nous nous arrêtons à nouveau et nous embrassons. Valérie me demande sa robe. Entre temps, je l’ai fermement roulé en boule dans ma main. Sous le regard médusé de Valérie, je lance la robe au milieu d’un champ de blé ! Valérie ne crie même pas. Elle regarde voler son habit avant de se tourner vers moi. — Tu n’as pas fais ça ? Je hoche la tête en signe d’approbation. Valérie semble réfléchir si elle doit se fâcher ou si elle doit en rire. Elle soupire alors en souriant. — Tu es un grand malade… Quittant ses talons, elle s’engouffre dans le champ encore vert. Quand elle a fait quelques mètres, je me déshabille à toute hâte et m’apprête à la suivre quand je l’entends ...
    ... jurer : — Merde ! Ils ont arrosé ! En la rejoignant, je constate que le sol est effectivement bien boueux et la robe doit encore être une bonne dizaine de mètres devant nous. A l’aide d’une minuscule lampe de poche, nous avançons un peu plus dans le champ. Nous tombons sur la robe quelques instants plus tard. Par chance, elle se trouve dans une petite zone d’un gros mètre carré sans épi. Moins drôle, la zone est plus humide et boueuse que le reste du champ. Valérie ramasse sa robe avec précaution. Quand elle se tourne vers moi, je l’embrasse avec frénésie. Surprise, Valérie répond à mon baiser avec un temps de retard. J’éteins la lampe de poche et la jette à terre. Valérie lance sa robe sur les épis à côté de nous. Notre baiser se prolonge et je bande très vite. Valérie s’accroupit pour me sucer quelques secondes. Je m’agenouille dans la boue pour exciter son clitoris de ma langue. Je l’attire vers le bas. Elle tombe à genoux en riant et m’embrasse. — Tourne-toi… Pas besoin de lui dire deux fois. Elle pose les mains dans une flaque et je glisse en elle par derrière. Je la prends très vigoureusement. Ses mains glissent dans l’eau et elle doit fréquemment se redresser. Mais je bombarde son arrière-train avec une telle énergie qu’elle est contrainte de se pencher de plus en plus bas. Fermement accroché à ses hanches, je pistonne sa croupe toujours dressée, mais Valérie doit désormais prendre appui sur ses coudes. Elle gémit très bruyamment, halète comme si elle était au bord de ...
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