1. Valérie : l'insoupçonnée (6)


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... l’essoufflement. Je l’astique toujours avec une ardeur sans faille, mitraillant ce surexcitant fessier. A bout de force, Valérie s’allonge à plat ventre dans la boue, non sans garder son petit cul en l’air. Je suis au bout, mais pas tout à fait. Mes derniers mouvements de hanches sont de vrais coups de boutoir dans son vagin. Au moment de jouir, je lui donne une puissante fessée et me laisse choir sur son dos. Après quelques secondes, Valérie murmure : — Je ne peux même pas décrire ce que tu viens de me faire vivre. Le ton de sa voix est grave. Je m’inquiète soudain. Elle poursuit : — Je ne sais pas ce que je ressens exactement. Je ne dis rien. — Tu m’as fait mal. — Je… Elle me coupe. — Tu m’as baisée comme… je ne sais pas… même une pute, tu ne la baiserais pas ainsi. Elle marque une pause. — Je viens de vivre le moment de ma vie le plus… J’ai peur. — Fabuleux. Elle sourit largement. Je me soulève pour qu’elle puisse se tourner et m’allonge sur son corps plein de boue. Nous nous embrassons à pleine bouche. Valérie me fait rouler pour venir sur moi, j’ai la tête dans la flaque. Nous restons encore quelques instants avant de nous lever, hilares. Nous sortons du champ et reprenons la direction du village, boueux de la tête aux pieds et nus comme des vers. Valérie me demande ce que je compte faire. Je ne réponds pas. A l’entrée du village se trouve le cimetière dans lequel il doit fatalement y avoir de l’eau. Le plus discrètement possible, nous tirons de l’eau dans un arrosoir. ...
    ... L’eau est glacée. Si cela n’est pas pour mettre en valeur mon anatomie, je suis tout à fait charmé par la longueur que prennent les mamelons de Valérie. Elle en rit. Très humides, nous nous rhabillons. A la voiture, Valérie remet sa tenue précédente. La "douche" nous a refroidi et je dois mettre le chauffage quelques instants en reprenant la route. La voiture de Valérie se trouve sur son lieu de travail. Je me gare en face, sur le parking désert d’une autre entreprise. Nous nous embrassons. — Je n’oublierai jamais cette soirée, crois-moi. Je ris. — Tu es une femme intelligente, vive et cultivée. Ce qui ne gâche rien, c’est que tu es incroyablement désirable, excitante et sexy. Elle rougit et sourit. — Ma confiance est au beau fixe lorsque j’entends de si agréables compliments. teithhgv Elle m’embrasse tout en commençant à ouvrir mon pantalon. Elle me suce avec hâte. Et une folle intensité. De loin les meilleures fellations de ma vie. Pourtant, elle ne me fait pas jouir. Elle se redresse, ramasse ses sacs et sort de la voiture. Je fais de même et viens de son côté alors qu’elle remet ses sandales. Elle se redresse et nous nous enlaçons. Je provoque : — Où as-tu appris à sucer comme ça ? Elle éclate de rire. — Je te raconterai ça une prochaine fois, qu’en penses-tu ? — Je n’ai pas le choix, c’est ça. — Pas vraiment. Je l’embrasse. — Et pourquoi tu t’es arrêtée en si bon chemin ? — Pour que tu me désires encore, là, devant moi. — J’ai très envie de toi… — Mmmmh… Valérie a fermé ...