1. L e rocher des amants


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Elle n'était pas la dernière à vider et remplir un verre. Elle tenait mieux l'alcool que son homme. Celui-ci était roide avec un visage d'illuminé d'ahuri. Ange au milieu de démons il semblait ne rien voir. Notamment qu'on tripotait sa femme et que certains soufflaient en l'oreille de celle-ci de certaines cochonneries. Ces détails m'avaient jusqu’alors échappé. Le puzzle reconstitué était à présent évidence. Quel idiot j'étais. Je concevais que j'étais niais et que j'avais encore beaucoup à apprendre.Un cousin se vanta que la nuit précédente, la garce était venue le visiter au prétexte que son mari ronflait. Qu'elle ne pouvait dormir. Elle demanda une place en le lit pour pouvoir se reposer. Il suivit ce qu'on sait. Le cousin fut branlé, sucé. La montant par la suite. Le cousin ne me proposait pas moins de m'appeler la prochaine fois pour je puis aussi en profiter. Elle aimait avoir nombre de mecs sur le dos. Je ne serais de trop. Nous pourrions à bon compte nous offrir une belle orgie. La proposition pour sûre m'indigna. Par la suite je battis froid à la belle ce qu’elle devinât.Elle n'eût pas de mal en effet à me faire cracher le morceau. Je n'étais de taille à la balader longtemps. Au bout du compte je lâchais que les cousins avaient conté des ignominies sur elle et qu'enfin je lui savais une liaison avec Armand. Elle éclata de rire s'exclamant : « Coquin tu en sais bien trop. Raconte. Tu m'espionnes ? » Je vis en un instant l'équivoque de ma position. Je n'étais qu'un ...
    ... immonde Tartufe. Ma vertu sonnait creux. Je ne savais comment me dépêtrer. Son regard bleu était insoutenable bien que bienveillant à mon égard. Elle savait mieux que moi ce que je désirais.Comiquement cela finit par ce qu'elle me consolât tandis que je l’avais en l'histoire calomnié. Elle tint à ce que je vins avec elle à la fameuse plage où je l’avais vraisemblablement vu avec Armand. De cet instant j'avouais tout. En effet nous l'avions reluqué d'un certain promontoire. Elle me dit qu'elle le connaissait car propice aux voyeurs et cela ne la gênait point. D'autres femmes qu’elles aussi garces se prêtait au même jeu. Bref elle maintenait son offre à ce que nous allâmes ensemble au rocher. Tout au plus concéda-t-elle que cela se fit un certain jour. Cela devait demeurer un secret.Un jour où les cousins devaient être absents. Pour que je cède au final gain, elle menaça d’aller raconter tout à l'oncle. Je pris peur. J'acceptais. Au tréfonds de moi-même j'escomptais qu'il ne se passât rien sur la plage. Il ne tenait qu'à moi de ne pas céder à la tentation. Nous dûmes paraître bizarre ce jour- là sur le chemin escarpé menant jusqu'à la plage. Penaud je restais en arrière traînant les pieds suivant cette jolie femme. On eût cru à une mère et un fils plus qu'à un couple fornicateur. Le soleil était brûlant, les flots rieurs. J’allais jeter ma défroque et enterrer l'ancienne vie.Parvenus à ce bout du monde près du rocher, elle se mit vers l'horizon écartant les bras et offrant son ...
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