1. L e rocher des amants


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    Les derniers jours de vacances me furent offerts par un oncle sympa. Il avait toujours pris mon parti en nombre d'occasions. Son frère, mon père en l'occurrence le prit au mot ce jour-là. « Ben occupe-toi donc du garnement. Tâche de lui faire entrer dans la tête qu'il doit bosser son bac. » Il est vrai que mes parents se désespéraient de ma langueur naturelle tandis que mes autres frères se débrouillaient. Il leur importait peu qu 'on me soupçonnât de réelles potentialités. Ils avaient peur d'avoir conçu un raté, un boulet pour toute la famille. Mon oncle estimait hystérique leur crainte.J'avais toujours adoré cette région du Croisic. Avec mes cousins des fois ont poussé en vélo jusqu'à Guérande voire Batz. L'air salin ambiant me revivifiait. En un accent de sincérité je disais à l'oncle que j'aimerais pour toujours m'établir dans ce coin. L'oncle cette fois-là me répondit à peine goguenard : »Ben tu réussis le Bac et fait de bonnes études. Je me fais fort de te trouver ici une jolie maison pas chère. » J'entendis, je crois la leçon. N'était-il temps de s’affranchir des parents et de leurs jérémiades ? J’avais envie d'en mettre un grand coup de collier. Une circonstance hâta cela.En cette fin d'août nous vîmes débarquer un couple ami de l'oncle. Ils venaient de Versailles. L'oncle pour se moquer les appelait : Mon couple d'intellos. En effet elle était éditrice, et lui universitaire émérite qui avait sa petite notoriété. Sur Google on trouvait partout son nom et des ...
    ... extraits de ses articles et de ses livres. Et par pédant pour un sou. L'un l'autre ne parlaient pas de leur métier et de leurs hauts faits d'armes. Nous n'apprîmes jamais cela que par la bande ou par des autres. Ils voulaient par contre tout savoir sur nos vies et aspirations. Ils en firent autant avec moi.Je pense que le monsieur avec une simple déférence parvint à me convaincre de ma valeur et que j'avais raison de n'écouter que mon instinct et mon sûre désir. Il en excusait pour autant mes parents qui comme nombre croyaient bien faire. Ils me conseillaient de dealer avec eux. A un moment ils comprendraient ma résolution à emprunter telle ou telle voie et même en concevraient de la fierté. Je lui répondis sans forfanterie que j'étais parvenu aussi à la même conclusion. Sa femme à côté nous écoutant et acquiesçant dodelinait de la tête. Je ne pensais pas qu'elle-put être décisive.C'était une jolie rousse, la quarantaine bien balancée. Ces quelques rondeurs ne m'offusquaient pas. Bien au contraire. Elle me rappelait à cet égard une de nos voisines qui avaient depuis déménagé. Garce notoire qui ne dédaignait pas l'été à faire du naturisme dans un jardin derrière. Elle n'avait cure qu'on la lutinât derrière le rideau. Maintes fois mes frères et moi nous nous branlâmes sur ses chairs. Je ne me souviens pas sans émoi des rayons du soleil finissant dorant chacune courbe des fesses. Je concevais ainsi l'aire du Paradis promis dans tant de religions.La belle éditrice me parut comme une ...
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