Pierre, le Maître
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... démène avec frénésie. Pierre serait-il homme à se laisser emporter par le plaisir ? Oh, oui. Ses coups de reins montrent qu’il lâche sa semence. La femme crie, oh oui, crie son plaisir de recevoir ces giclées de foutre. Le mari regarde le couple d’un œil bienveillant. Son regard, comme le mien, suit maintenant le sexe qui sort doucement de l’anus, laissant des traînées de sperme couler comme à regret de l’œillet qui reste encore un long moment ouvert.Je peux enfin m’occuper de moi. Ils sont encore dans leur monde et je ne suis qu’une chose, insignifiante, mais qui a tellement envie de jouir avant qu’ils ne se réveillent ! Je bouge afin de ressentir les deux objets dans mes intimités. À défaut d’une ou de deux vraies queues, je me contente de ce qu’ils m’accordent. C’est la première fois que mes deux trous sont occupés en même temps. Sensations, fantasmes, je coule. J’essaye de rester attentive à mes maîtres pour ne pas me faire remarquer, de peur qu’ils arrêtent la montée de mon plaisir. Mais c’est si bon que je ne peux pas… « Ouiiiiiiii ». Le cri de la jouissance.Ils sourient, indulgents.- Quand vas-tu la faire percer ? demande la femme, comme si cela était une évidence.- J’ai pris rendez-vous dans deux jours.Ils sont fous. Jamais je ne vais accepter. Plutôt renoncer que me retrouver avec ces corps métalliques dans ma chair. C’est un truc à se faire refuser au détecteur de métaux des aéroports. Vous me voyez montrer ma chatte avec un piercing pour pouvoir prendre l’avion ...
... ?Vingt jours se sont écoulés… Le boucher m’a posé son métal sur chaque téton, et je peine encore à ne pas crier lorsque mes seins touchent par mégarde mon vêtement.Je n’ai pas échappé au piercing sur le capuchon du clitoris, mais si la douleur fut intense lors de la pose de l’anneau sur mon capuchon, elle s’estompa relativement plus vite, comparée au ressenti de la douleur irradiant mes seins !Pierre m’avait donné congé suite au passage chez le pierceur, en me disant de surveiller mon téléphone et mes mails. J’étais donc rentrée chez moi, et j’avais repris le travail.L’armée a ceci d’intéressant qu’elle peut offrir une carrière combinant activités intellectuelle et physique. Enfin, j’y voyais cet intérêt avant la pose du métal parce que depuis, la séance de parcours du combattant a été avant tout un combat intérieur pour ne pas défaillir face à la douleur de mes seins enserrés dans leur soutien-gorge brassière, l’ensemble glissé dans un treillis rêche à souhait. Heureusement, il pleuvait, et mes larmes de douleur se sont mêlées à la pluie, si bien que personne n’a remarqué mon état de souffrance.Fort heureusement, je fais partie d’une unité qui ne subit pas d’entraînement quotidien, et je me complaisais donc dans mon bureau à saisir des kilomètres de chiffres sur un tableur pour occuper mon esprit à autre chose qu’à penser à mes tétons.Trois semaines se sont donc écoulées, sans aucune nouvelle de mon Maître. Je finis par m’habituer à mes trois nouveaux bijoux. Chaque jour, nue ...