-
Pierre, le Maître
Datte: 16/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois
... jusqu’à présent. Ces dimensions commencent à m’inquiéter sérieusement, mes orifices – quels qu’ils soient – n’étant pas initialement taillés pour accueillir un tel engin.Délaissant mon sein gauche une nouvelle fois, Obélix pose sa gigantesque main sur ma nuque et exerce une pression pour amener ma bouche vers ce gland énorme. J’ouvre les lèvres à m’en décrocher la mâchoire pour avaler cette fraise transgénique tout en faisant virevolter ma langue autour, à grands renforts de salive. La main d’Obélix n’a pas relâché la pression et pousse ma tête plus loin sur son membre, que j’absorbe centimètre par centimètre, en totale apnée, jusqu’à ce que le gland monstrueux bute sur ma glotte.S’ensuit dès lors un mouvement de va-et-vient modulé par la main qui me maintient le crâne. Je salive comme jamais, tentant de reprendre mon souffle selon les opportunités qu’il me laisse.Mon esprit concentré sur ce chibre, je sens néanmoins une main fureteuse se poser sur mes fesses. Elle est un peu rugueuse : ce n’est donc pas Pierre qui s’aventure à glisser un doigt dans mon sexe désormais ruisselant d’excitation. Un deuxième doigt vient compléter l’exploration, tandis que le pouce masse maintenant ma rosette. La honte et l’excitation se mêlent dans mon esprit embrumé. Un échange que j’imagine plus que je ne le comprends entre les deux British me laisse penser que ma prestation leur plaît ! Je m’applique à coulisser sur le sexe de mon Obélix lorsque je le sens grossir dans ma bouche et déverser ...
... une énorme quantité de sperme âcre contre mes amygdales.Ma bouche n’a pas la contenance suffisante, si bien que le trop-plein coule le long de la hampe et s’épanche sur les bourses, se faufilant dans la raie des fesses. Il me tend du Sopalin pour que je procède à une rapide toilette. Pas question que j’avale son foutre. Je sèche consciencieusement les testicules velus. Sa main me fait pencher vers les fesses pour y ratt****r le reliquat. L’odeur y est plus prononcée. Il me force à me pencher encore plus pour que je lèche sa raie, mais le traitement de ma langue semble plaire à mon Obélix qui m’impose de maintenant lécher son anus.La position n’est pas pratique et j’ai la surprise de voir l’homme se déplacer pour s’installer à quatre pattes.- Lick my ass, little frenchy slut ! (Lèche-moi le cul, petite salope française !)C’est ce que je comprends de sa demande dans la langue de Shakespeare.C’est une première pour moi : aucun de mes amants ne m’a jamais demandé une telle caresse. Bien sûr, je sais que certains hommes aiment cela, et même que la pénétration d’un doigt peut leur procurer du plaisir. La raie poilue laisse deviner le cercle de l’anus souligné d’un disque sombre. Je crains un instant une hygiène déplorable : mais non, juste une odeur forte de transpiration. Ma langue glisse dans la raie, et lorsqu’elle atteint son but l’homme des landes lointaines lâche un cri incongru dans cette gorge de mâle.Pas de doute, il apprécie, et je m’efforce de le satisfaire.Pendant ce ...