1. Ma Belle-mère Première fois


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    J’ai souvent été attiré par les femmes plus âgées que moi. Complexe d’Œdipe, adolescence mal maîtrisée sexuellement, peu importe la cause mais les femmes plus âgées que moi m’ont toujours attiré, bien plus que les jeunes pucelles plus ou moins aguerries. Lorsque j’ai rencontré Françoise, ma première et à ce jour seule épouse, j’avais 31 ans et elle 25. Très vite, nous avons décidé de nous marier, elle voulait avoir des enfants très vite, avant la trentaine. Elle craignait avec juste raison d’avoir hérité de sa propre mère une grande difficulté à concevoir des rejetons. De fait, malgré tout, nous n’avons jamais pu en avoir ce qui a très certainement contribué à l’explosion de notre couple. Mais en 1978, même si Françoise n’était plus vierge depuis longtemps lorsque je l’ai rencontrée, même si nous avions mélangé nos sexes depuis quelques temps, avant le mariage, il était convenant que Françoise me présente à ses parents au cours d’une cérémonie officielle. Je fus donc invité chez mes futurs beaux-parents un samedi à déjeuner. En 1978, mon beau-père avait 61 ans et ma belle-mère 55 ans. Françoise m’avait décrit ses parents d’une manière fort objective et je ne fus pas surpris en les rencontrant pour cette première fois. Il était évident que je ne pourrais jamais m’entendre avec mon beau-père. Officier général de l’armée de terre, ancien de Saint Cyr, il était tellement imbu de sa personne qu’il méprisait même les polytechniciens qui n’étaient pas « de vrais militaires » ...
    ... puisque la plupart d’entre eux quittaient l’armée pour aller travailler dans le civil ! Même sa fille qui terminait ses études de médecine ne trouvait pas grâce à ses yeux puisqu’elle n’avait jamais cherché à être médecin militaire. Il était con, il allait le rester jusqu’à la fin de sa vie. Il ne savait pas que son planqué de gendre, puis d’ex-gendre, qui n’avait même pas fait son service militaire comme « un vrai militaire» mais comme architecte au titre de la coopération allait sur la fin de sa vie être le seul à s’occuper de lui avec sa femme. Il était droit dans son uniforme qu’il avait revêtu en mon honneur pour m’accueillir ! Il me fit asseoir dans un fauteuil du salon en attendant ma belle-mère qui officiait en cuisine. Françoise m’avait dépeint sa mère comme une parfaite femme d’officier, toujours au garde à vous, obéissant aux ordres de son seigneur et maître sans jamais le moindre semblant de protestation. Elle m’avait aussi dit qu’elle avait été très belle et qu’elle en conservait de forts beaux restes. Selon Françoise, sa mère était un parangon de piété divine et de vertu. Protestante très rigoureuse appartenant à la famille des calvinistes, elle passait une bonne partie de son temps, celui que son mari lui laissait libre, à s’occuper des bonnes œuvres du temple. Aujourd’hui encore je lui crois une véritable foi très sincère même si elle ne fréquente plus guère le temple à maintenant 81 ans. Par contre, je devais découvrir que sevrée d’amour par son butor de mari, elle ...
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