1. Ma Belle-mère Première fois


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... s’était créé un jardin secret particulièrement intéressant ! Lorsque je la vis entrer dans le salon, elle était bien comme sa fille me l’avait décrite. Elle était assez petite mais se tenait droite comme un « I » et levant la tête pour mieux vous contempler au travers de ses verres progressifs, elle vous toisait du haut de son mètre cinquante cinq ! Ses lèvres fines et pincées ne lui faisaient pas une bouche gourmande mais au-dessus d’un petit nez très droit, sous des sourcils très mobiles elle avait des yeux un peu trop ronds mais d’un bleu absolument superbe qui vous transperçaient comme des rayons X. Françoise avait une poitrine magnifique et lorsque je l’en complimentais au premier temps de notre relation elle me disait : « tu verras celle de ma mère ». En effet, Yolande ne parvenait pas à dissimuler derrière un chemisier point trop serré une poitrine que je jugeais somptueuse malgré le peu de visibilité que j’en avais. Oui, pendant qu’elle s’avançait vers moi, je me disais qu’elle était bien comme sa fille me l’avait décrite. Elle me tendit la main, l’air très hautain. Très homme du monde à mon tour, je la lui pris et lui prodiguais un long baise main. Le baise main est depuis longtemps passé de mode. C’est dommage, il permettait de caresser langoureusement des lèvres la main de toute femme qui vous était présentée. Un ami m’avait dit un jour : si, lorsque tu baises la main d’une femme cela lui donne la chair de poule sur le, ou les bras, c’est qu’elle a, sans forcément ...
    ... le savoir, envie de coucher avec toi. Et à ma grande stupéfaction l’avant bras de ma future belle-mère était hérissé d’une superbe chair de poule. Lorsque je relevai la tête, je plongeais mes yeux dans les siens sans impertinence, mais très profondément et je pus distinguer au fond de son regard si bleu comme un trouble qu’elle ne parvenait pas à masquer entièrement. Il eut été convenable que mon père vienne demander à Louis, le père de Françoise la main de sa fille pour moi. Mais je n’ai pas de père connu ce qui avait au début complètement braqué le pauvre soldat et il avait fallu que Françoise déploie des trésors de persuasion pour que ses parents acceptent de me recevoir. Nous étions convenus que les parents de Françoise viendraient passer quelques jours dans la maison de famille de ma mère au bord du bassin d’Arcachon, que nous irions en même temps et que ma mère nous rejoindrait. Ensuite, mon parrain qui est un vieil ami de la famille de ma mère nous rejoindrait et qu’il demanderait à Léon la main de Françoise pour son filleul, moi en l’occurrence ! Nous nous retrouvâmes ainsi tous les cinq à Arcachon dans la propriété de ma mère. Cette maison lui venait de ses parents et mon beau-père fut très sensible au fait que mon grand-père ait été tué en 1915 sur la Marne sans avoir jamais vu sa fille née un an plus tôt. Mon beau-père eut à partir de ce moment une grande indulgence pour ma mère alors que sa fonction d’enseignante à la faculté de médecine l’avait laissé de marbre ! ...
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