Louise sous influence... (1)
Datte: 18/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... cuisses et ses jambes jusqu’à l’indécence… Un véritable sentiment de honte lui traverse l’esprit, de se retrouver dans cette position, sa croupe et sa chatte juvénile offertes ainsi à son propre patron. Celui-ci déboutonne son pantalon et sort une belle grosse queue déjà bandée d’excitation qu’il fait glisser à plusieurs reprises le long des petites lèvres charnues de sa salariée. Et puis, sans prévenir sa subordonnée, l’homme force l’entrée du doux puits d’amour encore tout liquoreux suite aux nombreux orgasmes de tout à l’heure. Louise pousse un petit cri de plaisir qu’elle ne parvient pas à réprimer… Néanmoins, la jeune femme commence à lire le document… Comme elle pouvait le craindre, les premières lignes sont sans aucune équivoque possible. — Je ne peux pas accepter ça, Monsieur Piossenger ! Je ne suis pas une prostituée… Hmmm ! — Comme vous voulez, Louise… mais réfléchissez bien ! Il n’est aucunement question pour vous de vous prostituer mais d’être une jeune avocate d’affaire très ambitieuse qui sait user de tous ses atouts pour répondre aux besoins de nos clients. D’ailleurs, vous avez déjà démontré l’étendue de vos compétences à mon amis Jean et à ses collaborateurs. Le sieur Bernard en profite alors pour accélérer la cadence et faire buter son bas-ventre contre les fesses de son amante. — Hmmmm ! Oh ouiiii !... — Tu vois que tu aimes ça, de te faire baiser comme une chienne !... Putain, c’est un véritable bonheur, ta petite chatte toute dégoulinante de cyprine. Ça ...
... glisse tout seul à l’intérieur. Allez, dépêche-toi de signer ce foutu contrat pour que nous puissions tous fêter ça dignement ! Les quatre autres mâles se sont rapprochés d’eux et se branlent méthodiquement comme s’ils attendaient leur tour. La jeune avocate a d’ailleurs bien du mal à se concentrer sur ce qu’elle lit, obsédée qu’elle est par ces belles bites à portée de sa bouche. Elle parcoure donc en travers les paragraphes où il est notamment question de son obligation de se soumettre aux exigences du client, de la possibilité de partir plusieurs jours en séminaire de travail, de la fréquence des réunions de synthèse avec le client et son propre patron… Louise s’arrête néanmoins sur le paragraphe concernant sa tenue vestimentaire de travail, avec le port de la jupe courte obligatoire et l’interdiction stricte d’avoir une culotte en dessous, afin d’être toujours ouverte aux volontés du client. Comment devait-elle interpréter cette clause du contrat commercial ?! Qu’à n’importe quel moment de la journée, elle pourrait se faire baiser comme une petite pute sur le coin d’un bureau ou contre un mur… Elle était à la fois terrifiée et passablement excitée par cette pensée d’être ainsi offerte à la perversité du premier venu. Elle ne savait vraiment pas quoi décider, son esprit étant complètement embrouillé, son patron continuant à lui pistonner le vagin à grands coups de queue comme si de rien n’était… — Il y a quelque chose qui ne te vas pas dans ce contrat, Louise ? Tu préfères ...