1. Louise sous influence... (1)


    Datte: 18/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Piossenger ?!… bafouille-t-elle pour se convaincre qu’elle est bel et bien réveillée et qu’elle ne cauchemarde pas. — Mademoiselle… enfin… Louise ! C’est quoi ce baisodrome ?!... Je vous envoie chez un très important client pour un contrat non moins important, et je vous retrouve dès le premier matin les cuisses écartées, à vous faire baiser comme une véritable chienne en chaleur !... Vous avez sans aucun doute des explications à me donner !? — … — Alors, j’attends, mademoiselle l’avocate ! — Bernard… — Non, Jean ! Elle doit assumer ses actes, la petite pute. Je ne paie pas mes salariés pour qu’ils s’envoient en l’air pendant leurs heures de boulot… sauf si bien sûr ça rapporte à l’entreprise. Louise est au bord des larmes ; elle se sent humiliée comme jamais elle ne l’a été de toute sa vie. Qu’est-ce qu’elle aurait aimé être invisible à cet instant. Tout son avenir professionnel qui semblait pourtant radieux, s’effondre d’un seul coup. Les deux hommes se sont retiré de son anus et elle git prostrée au pied du canapé. Dans ce qu’elle pense être un instant de lucidité, elle se redresse et se jette aux pieds de son patron, tentant de lui déboutonner le pantalon pour lui faire une fellation. Mais ce dernier la repousse avec dégoût… — Vous allez me foutre du sperme sur mes vêtements, petite conne ! — Je vous en supplie, Monsieur Piossenger !... Laissez-moi une chance de me rattraper, afin de vous prouver que je peux bien faire mon travail ! Je ferai tout ce que vous voulez ! ...
    ... mycmddg Toujours nue comme un vers, la jeune femme se tient à genoux devant son employeur, sa tête entre ses mains, et elle pleure à chaudes larmes. Les quatre autres hommes, eux-aussi debout et leur sexe toujours à l’air, l’entourent également… l’un d’eux se permettant même de passer sa main dans les cheveux collés par le sperme. — Je vous en supplie, Monsieur Piossenger !... répète-t-elle d’une petite voix toute effacée. — Arrêtez de me supplier, Louise ! Vos jérémiades m’insupportent au plus haut point… Allez plutôt prendre connaissance du contrat commercial qui est sur la table puisqu’il vous concerne directement. Soit il vous convient et vous le paraphez avant de le donner à Jean pour qu’il le signe également, soit vous me faites votre courrier de démission sur le champ ! La jeune avocate se redresse et cherche du regard ses habits disséminés un peu partout dans la pièce. Alors qu’elle s’apprête à aller récupérer sa jupe, son patron l’attrape par le bras… — Vous n’avez pas besoin de vous rhabiller pour lire le contrat ! Pas de fausse pudeur avec moi et mes amis !... D’ailleurs, Louise, je vais vous aider à prendre la bonne décision ! — A grands coups de bite dans le cul !... ajoute le fameux Monsieur Jean avec un rire gras pour ponctuer son intervention. Effectivement, à peine Louise s’est-elle positionnée pour lire les feuillets disposés sur la table en verre qu’elle sent deux mains masculines lui tirer les fesses vers l’arrière, puis l’une d’elles l’oblige à écarter ses ...
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