Telle est (bien) prise, qui ne pensait plus l'être... (1)
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Elle ne pensait pas l’être, mais elle l’a bien été ! Lors d’une escapade au Louvre, Chiara et Pat avaient retrouvé Esther et Hugues. Durant leurs études communes, Pat et Esther avaient eu l’occasion d’être « un peu » amants, puis Pat avait rencontré Chiara et s’était installé avec elle. Réunis un week-end chez Chiara et Pat, ils reparlèrent de leurs encore proches années estudiantines, évoquant leur insouciance d’alors et leurs folies de jeunesse. Pendant le repas, Chiara surprit, avec une certaine gourmandise, le regard troublé qu’Hugues adressait à son corsage et, fort émoustillée, elle avait senti avec délice ses tétons se dresser sous son corsage. Quant à Esther, Véro avait regardé Chiara avec quelque jalousie, car son corps, nostalgique des caresses que Pat Sam avait (trop peu…) prodiguées jadis, Véro la voyait encore comme une voleuse de mâle. Quand Véro surprit les regards qu’Hugues adressait à la poitrine de Chiara, un peu plus arrogante que la sienne, son humeur s’assombrit encore plus, d’autant que Pat, n’osant pas Sam montrer sa nostalgie, semblait jouer l’époux fidèle, même si, toujours concupiscent, il constatait qu’Esther, pas très grande, avait conservé son corps de jeune femme sportive, la taille fine, de petits seins impertinents et des fesses galbées et fermes. Aux alentours de minuit, ils se séparèrent, et chacun des deux couples regagna sa chambre. Hugues et Esther se dévêtirent et se couchèrent. Esther semblait bouder et lui tourna le dos, mais Hugues ...
... se colla contre elle et ses mains commencèrent l’exploration du corps de sa femelle préférée, caressèrent longuement ses arrogants petits seins, puis glissèrent vers son ventre et s’aventurèrent vers une oasis qui commençait à ruisseler ; malgré elle, Esther commençait à apprécier les caresses de son compagnon. Mais quelque chose la turlupinait… la présence, dans la chambre d’à côté, de son ancien amant, dont elle se souvenait encore de la vigueur et du zèle sexuel. Malgré sa mauvaise humeur, et à son corps défendant, les doigts d’Hugues parvinrent à Sam arracher un petit orgasme, qu’elle refusa d’accompagner par les petits cris habituels, mais elle ne put empêcher de l’en informer par le frisson qui parcourut son corps. Quand il entreprit de lui écarter les fesses pour accéder à son intimité, Véro serra les fesses sans le regarder. Frustré face à ce corps qui se refusait, Hugues, fâché, misa sur le sourire que Chiara Sam avait adressé, se leva et annonça à Esther que puisque c’était comme ça, il allait rejoindre leurs amis et qu’il essaierait de participer à leur fête, si fête il y avait. Il se dirigea vers la porte et, après avoir jeté un regard au joli corps d’Esther, il ouvrit la porte… Dans la chambre d’à côté, Pat avait rejoint Chiara, également nue. Comme il savait que, pour raisons médicales, toute pénétration était interdite, momentanément, à Chiara, il se contenta de caresser longuement sa jeune poitrine, en en savourant à nouveau la fermeté élastique, tout en Sam ...