Telle est (bien) prise, qui ne pensait plus l'être... (1)
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... titillant le clitoris de son autre main. Mais sa tête était ailleurs… Ses mains gardaient encore en mémoire les nichons d’Esther, un peu plus petits que les seins de Chiara, mais aptes à satisfaire la lubricité de tout homme, et il se souvenait avec émotion de l’accueil enthousiaste d’un vagin lubrique et lubrifié à souhait, dans lequel il s’était, à loisir, généreusement, répandu. Il bandait, et pour sa femme qu’il lutinait, et pour son ancienne maîtresse qu’il brûlait de baiser à nouveau. Tout de même un peu gêné, il continuait de caresser Chiara, qu’il sentait réceptive et qui parvint à jouir, dans un petit cri. Mais, fine mouche, elle sentait bien que la libido de son chéri était ailleurs, d’autant plus qu’elle savait tout de ses amours passées avec Esther (et avec d’autres…). Amoureuse de son époux et consciente qu’une fellation ne lui aurait pas donné le même plaisir qu’un rapport plus complet (il adorait la faire jouir, mais elle ne jouissait pas en suçant, elle…), elle lui suggéra qu’il pouvait, si Hugues l’acceptait, aller proposer un trio à leurs deux amis. En entendant cette proposition, Pat sentit son cœur battre plus fort et son érection prendre encore plus de vigueur ; mal à l’aise néanmoins, il insista pour rester auprès de son aimée, mais Chiara, d’une voix douce mais ferme, l’envoya se faire aimer ailleurs. Faisant mine de se résigner, Pat se leva et s’engagea dans le couloir, en direction de la chambre d’amis… En arrivant dans le couloir, Hugues, nu, se ...
... trouva en face de Pat, nu également. Surpris, les deux hommes échangèrent brièvement un regard troublé par un désir bien visible devant eux, qui, paradoxalement, les avait poussés à quitter leur compagne ; rassurés par ce qu’ils virent vu et convaincus que leur chérie ne perdrait pas au change, ils poursuivirent sans un mot leur marche vers une chambre où, sur un lit, les attendait l’aventure. En entrant dans la chambre d’amis, Pat vit Esther nue, allongée sur le ventre, ses belles petites fesses exposées à sa vue. Il s’assit au bord du lit et posa sa main dessus, délicatement. Esther crut qu’Hugues était revenu et, émue par ce revirement, elle accepta l’hommage rendu à son cul. Pat promena ses mains sur les fesses d’Esther, puis sur son dos, puis à nouveau sur ses fesses. Ses doigts se glissèrent dans sa fente, caressèrent son anus au passage et pénétrèrent dans son vagin. Esther, ravie de la caresse, ronronna pour montrer son approbation, feula lorsque les doigts se firent plus remuants à l’intérieur de son ventre, puis cria quand elle jouit. Reconnaissante, elle se retourna pour remercier son époux de ses douces caresses, mais se trouva surprise en voyant son ancien amant qui, manifestement, n’aspirait qu’à lui proposer une piqûre de rappel. Alors, avec un grand sourire, Véro s’écarta pour le laisser s’allonger sur le dos. Elle se coucha sur lui, les cuisses ouvertes pour s’empaler avec un râle de satisfaction sur un sexe tendu à se rompre, collant ses adorables petits nichons ...