Envoûtante Marrakech
Datte: 20/02/2019,
... gland tendu par le désir. Debout dans sa chambre, il sortit son menhir gonflé de son boxer et entreprit un féroce mouvement de va-et-vient qui lui arracha des râles de plaisir. Il imaginait cette marocaine le pompant comme une tigresse, sa main douce et chaude caressant chaque centimètre carré de sa peau. Il était en transe ! Sa main le travaillait et l’image était tellement vivace qu’il se mit à hurler son nom tout en jouissant, emplissant ses mains et le sol de longues giclées de nectar. Il s’allongea sur le lit et, harassé, s’endormit. Quelques minutes plus tard, un sursaut le réveilla ! Il avait oublié le rendez-vous de cette ensorceleuse ! Il prit une bonne douche et s’habilla en deux temps trois mouvements et se dirigea vers la porte. Le cabaret était en sous-sol. Il y régnait une ambiance particulière, une atmosphère lourde et tropicale. La moiteur était palpable. Malgré la pénombre, Balou remarqua que l’assistance était en majorité composée d’hommes de tous âges. Une musique entêtante résonnait, puis la scène s’illumina. Samira apparut plus belle que jamais. Telle une charmeuse des mille et une nuits, elle se déhanchait délicieusement. Presque nue, elle captivait l’attention de toute l’assistance. Les hommes se turent, seul l’air de musique orientale emplissait la place. Balou admira la langoureuse danse de Samira. Son ventre ondulait, se courbait. Elle portait un fin bikini de cuir noir sous une toile vaporeuse et presque transparente. Le regard de Balou se posa ...
... sur le galbe des mollets, il remonta progressivement le long de jambes interminables pour se coller sur l’endroit où il aimerait tant poser sa bouche masculine. Balou aimait plus que tout caresser le mont de Vénus, écarter les humides pétales, respirer le parfum iodé et boire les gouttes du nectar offert. Il vit ensuite les ongles de Samira déchirer doucement la fine toile de tissus qui la couvrait. Elle apparut, luisante, belle, tellement féline. Ses doigts caressèrent ses cuisses. Elle donnait des coups de bassin pour aller à la rencontre d’un phallus virtuel. Son autre main caressait la poitrine, puis ses fesses, pour remonter vers son cou. Balou regardait ce spectacle, debout devant le bar. Il portait un pantalon de toile couleur crème, mais on distinguait parfaitement la bosse de son entrejambe. Sa chemisette trempée lui collait au dos. Des gouttes de sueur roulaient de son front vers la nuque. Sa bouche n’était plus que plâtre. Il déglutit péniblement. Son ventre le faisait souffrir. C’est cette gêne qui le tira de sa torpeur. Il hallucinait. Il voyait devant l’estrade, un groupe d’hommes se masturber devant Samira. Elle les encourageait en s’agenouillant devant eux, et ainsi, à mi-hauteur, elle se trémoussait à quatre pattes. Balou vit que les mouvements du poignet s’accéléraient. Les hommes devaient être proches du plaisir. Certains grognaient, d’autres gémissaient les yeux fermés. Devant leur déesse, ils lui offraient leur semence. La danseuse se rapprocha encore ...