1. Envoûtante Marrakech


    Datte: 20/02/2019,

    ... le silence environnant…. — Balou, aime-moi, fais-moi un amour sauvage, incontrôlé ! Je veux que tu te libères ! Sois mon bourreau !— Samira, tu sais, je suis un homme sensible, prends-moi avec délicatesse et tu verras….— Moi je veux que tu me lacères de l’intérieur, je veux que mes chairs brûlent, qu’elles me fassent mal ! Il se mit alors à la pénétrer de son poing, il entrait doucement, Balou sentait les chairs se dilater sous l’avancée de sa main, la tension autour de son poignet s’atténuait et il put aller et venir en elle, la brisant de mille morceaux, ces râles enragés stimulants, et sa hampe grossissant de plus belle… Il était en son pouvoir, elle le maintenait dans un délire de chair, de sueur, de sève alléchante et bientôt elle le posséderait, il sera son sexe de mille plaisirs… Balou n’en pouvait plus, il tombait dans un puits de stupre sans fin. Samira le chevauchait. Elle lui avait lié les membres aux quatre coins du lit à baldaquin. Ecartelé, livré à cette femme diabolique, il hurlait sa joie en sa compagnie. Les seins voluptueux de la Goule tressautaient devant le visage de Balou. Il voyait sa verge disparaître profondément dans le ventre de la femme, ses muscles intimes l’aspiraient comme animés d’une vie propre. Samira avait enfilé un anneau d’or à la base du membre de Balou. Ainsi, lui avait-elle annoncé : « Ta hampe sera en érection constamment. C’est moi qui te délivrerai pour que tu puisses m’asperger de ton nectar, selon mon bon vouloir ». Il repensait à ...
    ... ces paroles, alors que la Goule usait de son corps pour assouvir sa soif de jouissance. « Tu ressentiras une multitude de petits orgasmes, mais tu n’éjaculeras pas. », avait continué Samira. La jeune femme s’empalait encore et encore sur son mâle. Elle donnait de violents coups du bassin, elle grognait et murmurait dans une langue inconnue. Soudain elle cria : — Regarde-moi ! Balou rouvrit les yeux, son visage était hagard. Il voyait devant lui tout d’abord l’imposante poitrine aux bouts caramel dressés devant sa bouche, puis son regard remonta vers le visage de Samira. Elle le regardait tendrement, presque amoureusement. — Suce, dit-elle, en avançant les seins vers la bouche du garçon. Balou écarta ses lèvres, un téton s’y engouffra. Il suçait, tétait comme un bébé. Le lait chaud coulait aux commissures de ses lèvres. — Tu es maintenant à moi. Mon lait te nourrira pour toujours. Balou ferma les yeux et suça. La Goule plongea vers le cou masculin, la bouche s’ouvrit délicatement, deux canines transpercèrent la peau, elle but à son tour. Balou sombra dans les ténèbres. — Monsieur ! Monsieur ! La voix résonnait à ses oreilles. Une voix cristalline ! L’homme ouvrit ses yeux, pour les refermer aussitôt. Il y avait trop de lumière. — Monsieur ! Monsieur ! Elle continuait de l’appeler, alors que le noir était si bon, si calme et douillet. Pourquoi la lumière ? Un éclair ! Balou se réveilla instantanément. L’hôtesse de l’air, une grande jeune femme rousse à la peau de porcelaine se ...
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