1. Pauline me console


    Datte: 20/02/2019, Catégories: ff, extracon, copains, Oral 69, ecriv_f,

    Comme toutes les femmes qui découvrent un jour que leur mec achète en secret des revues pornos, j’ai été bouleversée en trouvant parmi les dossiers un magazine où des femmes exhibaient complaisamment leurs charmes les plus secrets. C’était un après-midi, ma première réaction a été d’appeler Pauline, ma meilleure amie. J’étais en larmes. Pauline habite tout près de chez moi, et un quart d’heure après elle était là. Elle a essayé de me consoler comme elle le pouvait en me disant que ce n’était pas bien grave, que tous les hommes sont des cochons, qu’après tout, il valait mieux qu’il se repaisse d’une maîtresse en papier glacé que d’une autre en chair et en os. Elle avait peut être raison, sauf que l’un n’excluait pas l’autre et qu’il avait peut-être en plus de ces journaux dégoûtants une vraie maîtresse. Je pleurais tellement que Pauline ne savait comment faire pour me ramener à la raison. — Où est cette affreuse revue a-t-elle demandé ? Elle traînait sur la moquette de la chambre. Elle a commencé à la feuilleter avec des petits cris d’indignation. — C’est vraiment dégoûtant Comment est-ce qu’elles peuvent faire ça ? Même si on me payait une fortune, je n’irais m’écarter comme ça… Oh là là, et celle-ci… Mais regarde-moi un peu ça… Elle ne pourrait pas en montrer plus ! Alain est vraiment un salaud si ces photos-là l’excitent… Je me suis levée comme une furie et j’ai fouillé dans les autres dossiers. — Je suis sûre qu’il y en a d’autres cachées ! Je faisais voler les chemises ...
    ... pleines d’organigrammes. Et il y avait d’autres revues, mieux dissimulées que la première. Je les ai lancées à travers la pièce. — En voilà encore… et encore… Pauline les ramassait au passage, les ouvrait avec des exclamations indignées. Je suis venue m’asseoir à côté d’elle, sanglotant de rage. — Voilà à quoi monsieur s’amuse quand il s’enferme soi-disant pour travailler… Pauline était devenue silencieuse tout d’un coup. Je sentais qu’elle ne partageait plus ma colère. J’ai jeté un coup d’œil sur le magazine qu’elle feuilletait de plus en plus lentement. Deux filles, la chatte entièrement épilée, posaient l’une à côté de l’autre dans des positions tout à fait indécentes. Au fil des pages, elles se rapprochaient l’une de l’autre et finissaient dans un 69 très photogénique, lèvres contre lèvres si je peux dire… Après cette série de photos, il y en avait d’autres, encore plus hard. Une fille jouait à enfoncer dans la chatte d’une autre, un sexe en caoutchouc noir qui tenait à sa taille par une ceinture. — Tu te rends compte… a murmuré Pauline. C’est fou ce qu’elles font… ! Ce qui m’a semblé beaucoup plus fou, c’est l’état dans lequel je me trouvais tout d’un coup. J’étais toute mouillée entre les cuisses. Et j’avais du mal à respirer. Et puis, je ne sais pas pourquoi, je n’osais plus regarder mon amie en face. Elle aussi fuyait mon regard, d’ailleurs. Elle a reposé la revue par terre et nos sommes restées allongées sur la moquette, silencieuses pendant plusieurs minutes, chacune ...
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