Pauline me console
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
ff,
extracon,
copains,
Oral
69,
ecriv_f,
... sans doute pensant aux images. Puis Pauline a dit : — Ça fait quand même un drôle d’effet, tu ne trouves pas ? Attends… je voudrais revoir celles qui sont épilées… Elle a retrouvé la page où elles se pourléchaient la fente. — Tu crois que c’est comment le goût ? A demandé mon amie.— Aucune idée… C’était vrai que je n’en savais rien. — Tu me laisses goûter ? Juste pour voir… Paralysée, je l’ai laissée m’ouvrir les cuisses et enlever ma culotte. Quand j’ai senti sa langue sur mon clitoris, j’ai cessé de respirer et mon ventre s’est contracté. Elle m’a léchée un long moment, je me sentais couler de plaisir. — C’est un peu salé, a-t-elle dit enfin. Tu veux goûter aussi ? Elle m’a embrassée sur la bouche pour que je sente la saveur de mon propre jus, mais je trouvais plus intéressant d’aller voir du côté du sien. J’ai dénudé son ventre et j’ai sucé son sexe ouvert et mouillé. Elle avait raison, c’était salé et l’odeur était très excitante. Nous nous sommes vite retrouvées dans la même position que les filles de la revue, en 69, lèvres à lèvres, et aussi avides qu’elles. Nous avons joui très vite tant nous étions chaudes. C’était une grande première pour elle comme pour moi, mais ça n’a pas été la seule fois. Depuis ce jour, nous nous voyons chaque fois que nous le pouvons. Je surveille de très ...
... près les achats d’Alain en matière de porno. Je ne lui ai rien dit de ma découverte et ne lui ai fait aucun reproche. J’ai remis ses dossiers en place et je crois qu’il ne s’est aperçu de rien. Chaque fois qu’il sort, je fouille, Lorsque je trouve un nouveau magazine, j’appelle Pauline et elle arrive aussitôt, très excitée. Nous nous déshabillons et nous nous plongeons dans les pages glacées, faisant des tas de commentaires sur ce que nous voyons. Nous avons chacune nos préférences. Pauline est folle des chattes rasées. Moi, au contraire, j’aime les pubis très noirs et très fournis, comme celui de mon amie… Par contre ni l’une ni l’autre ne sommes excitées par les photos de bittes qu’on y trouve parfois. Seules les vulves nous mettent en état d’excitation. Nous avons acheté un godemiché en caoutchouc noir muni d’une ceinture, et nous nous en servons de temps en temps. Je le cache au fond d’un placard où, je l’espère, Alain n’ira jamais fouiller. Sinon, tant pis pour lui ! Ce qui est drôle, c’est que mon mari prend la peine d’aller acheter en cachette des revues où des femmes font l’amour, alors qu’il lui suffirait, un jour, de rentrer à la maison deux heures plus tôt et sans prévenir, pour tomber sur un tableau vivant autrement intéressant que le papier glacé… Je me demande quelle tête il ferait…