1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°921)


    Datte: 16/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ce qui se passait dans mes entrailles, commençait à me faire perdre la tête dans mes sensations. Maître Khalès ne tarda pas à remplacer les doigts de la Comtesse, et je me fis défoncer virilement le cul. Sa queue était vraiment très grosse, car elle prenait plus de place que les quatre doigts qui venaient de me quitter. Maîtresse Nadia vint se placer au-dessus de mon visage, me cracha dessus et étala sa salive sur tout mon visage, puis me tritura divinement les seins. Jamais on ne m’avait vrillé si délicieusement mes tétons ainsi avant cette soirée. C’était tellement excitant d’arriver aux portes de l’orgasme mais sans jouir, les sensations semblaient décuplées, cela me rendait folle ! Et évidemment me faisait mouiller encore plus ? Quel cercle vicieux ! … On me détacha les mains, tandis que je me faisais toujours enculer par Maître Khalès, et on exigea que je me dresse sur mes bras afin que je puisse également sucer toutes les bites et les chattes qui se présenteraient à moi. Une flaque assez conséquente s’était formée sur la table… On me fit descendre de la table, et à genoux je dus la nettoyer avant que Maître Mangini ne s’allonge dessus, dos sur le plateau et exige que je vienne m’empaler millimètre après millimètre sur sa queue bien dressée. Il me fut exigé de le chevaucher sauvagement, je devais me tenir aux portes de la jouissance sans me laisser aller, et maintenir un rythme soutenu. Il me plaqua contre lui, relevant légèrement mon cul. Maître César présenta son sexe ...
    ... devant mon cul et m’enfila jusqu’à la garde. J’étais entièrement remplie en même temps par devant et par derrière, manquant me faire jouir instantanément. Les deux hommes s’activaient en moi, tandis que Maîtresse Épine d’Or, me claquait les fesses régulièrement en rythme avec eux. Il devenait sérieusement difficile de me contrôler, et j’espérais qu’on m’autoriserait rapidement à jouir ou qu’on me laisserait respirer quelques minutes. Et j’entendis les mots que j’espérais tant « Allez jouis salope de chienne ! Lâche-toi ! » et c’est dans des cris sauvages, animaux, que mon orgasme éclatait, long, puissant, intense. Je tremblais de tout mon corps, je ne le maîtrisais plus. Et alors que mes cris commençaient à se tarir, Maître Wallance vint me fourrer sa verge au fond de ma gorge, empêchant tout son de sortir, me donnant les larmes aux yeux. Les bites se succédèrent à nouveau dans mes entrailles. Je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses. Tous mes trous étaient utilisés, ils en usaient et abusaient à leur convenance, et moi telle une chienne en chaleur, je tendais mon cul, j’ondulais du bassin, j’ouvrais grand ma bouche pour en redemander encore et encore… Une véritable orgie ! Les queues se retirèrent de ma bouche et de mon cul, et Maître Mangini me fit s’accrocher à lui, les jambes autour de sa taille. Il se releva et me coucha sur la table à sa place. Il me pilonna quelques secondes et se retira, pour se vider dans ma bouche. On m’occupa vite les deux mains, et je ...