La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°921)
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... recommençais à sucer à tour de rôle. On remit en marche le magic wand entre mes cuisses et je peinais à ne pas me contorsionner sous les vagues de plaisir. Et Maîtresse Cravache revint avec son instrument m’appliquant des coups sur les seins. Maîtresse Diamina me doigtait énergiquement la chatte. J’étais à nouveau à deux doigts de perdre pied, sous les moqueries des Dominants et Dominantes, qui cherchaient, et ne s’en cachaient pas à me faire jouir contre ordre. Mais je tenais bon ! Je tenais, je serrais les dents, j’essayais de m’évader mentalement de cette pièce ! Au bout d’une dizaine de minutes, tout s’arrêta. Tous les Invités firent un cercle autour de moi, les Maîtres virent éjaculer sur moi au, comme les Maîtresses, me pissèrent dessus. Je reçus l’ordre de rester immobile, dans la position où j’étais. Tous s’en retournèrent dans l’autre pièce, accompagnés de Monsieur le Marquis qui était resté simple spectateur durant toute la soirée. Je n’entendais pas ce qu’il se disait, mais à un moment les murmurent s’amplifièrent, et je compris que tout le monde se retirait. Je me demandais ce qu’il allait advenir de moi, mais tant que je n’avais reçu aucun ordre contraire, je restais immobile sur cette table, souillée. Puis j’entendis des pas s’approcher. J’avais beau tourner les yeux dans tous les sens, je ne parvenais pas à savoir qui ...
... était là. Jusqu’à ce que j’entende Sa voix. - Ma chienne, je suis fier de toi ! Ce soir tu m’as montré que tu étais une vraie chienne MDE, que tu méritais Mes Nobles Initiales. Ta sanction est désormais totalement achevée et lundi tu pourras revenir travailler normalement dans ton bureau, près du mien. Une soumise va venir te chercher avec ce qui sera nécessaire pour que tu ne salisses pas tout le Château. Tu vas aller te laver et tu te rendras dans ta niche. Demain sera un dimanche comme un autre. Donc repose-toi bien, pour être en forme pour tes corvées habituelles. Tu auras le droit de bouger que lorsqu’on viendra te chercher. Et je l’entendis s’éloigner. Je restais donc immobile. Je ne L’avais pas vu. Il s’était arrangé pour rester à l’abri de mon regard. Mais Sa voix m’avait réchauffé le cœur. J’étais heureuse, j’avais retrouvé mon chemin jusqu’à Ses nobles pieds, j’étais pardonnée. Je sentais que la nuit serait bonne. J’avais hâte qu’on m’enlève les pinces que j’avais toujours aux orteils et de laver car j’étais toutes collantes des crèmes et des fruits mais aussi d’urine, de cyprines et de spermes qu’on avait mangés sur moi. Et j’étais pressée de me reposer, ce diner avait été épuisant, malgré les corvées, le dimanche ne pouvait qu’être plus reposant. Mais j’étais loin de me douter de ce que demain me préparait… (A suivre …)