Le torrent
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
2couples,
fhhh,
grp,
couplus,
cocus,
inconnu,
vacances,
plage,
piscine,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
échange,
attache,
yeuxbandés,
confession,
... ne suis pas sûre. C’était… tellement…— Je ne suis pas d’accord. S’il ne doit rester qu’une chose de cette aventure, c’est la sincérité, et surtout ne rien nous cacher. Je parle du sexe et de nos fantasmes. Tu ne crois pas ? Marie réfléchit un instant. Cédric a raison. Elle voulait justement le remercier d’avoir rendu cela possible, même s’ils ne devaient jamais recommencer. — Si, bien sûr.— Alors… Cédric se lève, sort une clé USB de son pantalon, l’installe sur la petite télé qu’ils ont sur le mur, et après avoir récupéré la télécommande rejoint Marie dans le lit. La première image est celle de Marie, naïade qui sort de la piscine et que Pascal accueille. Elle est magnifique, cheveux mouillés, les tétons légèrement tendus d’une excitation ou de simplement la température. Une seule chose cloche : c’est le bronzage, les marques blanches disgracieuses qui soulignent sa poitrine et son pubis. — L’année prochaine, il faudrait que nous allions directement chez les nudistes, dit Cédric.— Pourquoi attendre ? Il reste quinze jours ; on pourrait en profiter.— Mais les filles… La jeune, pas de problème ; mais la grande, tu crois qu’elle acceptera de se montrer nue devant moi et d’avoir mon zizi sous les yeux ?— On verra bien. Je lui en parlerai. Après tout, elle nous traite de ringards ; alors on pourrait la surprendre. La conversation s’éteint alors que Pascal embrasse sa proie et qu’on voit distinctement John et Valentin entourer le couple. Prune n’est pas loin. Le regard de Marie ...
... montre une complète incompréhension lorsque ses poignets sont immobilisés par des menottes. L’incompréhension se transforme nettement en inquiétude lorsque les menottes sont fixées à un crochet qui pend d’une poutre. Cédric se souvient parfaitement du regard qu’ils ont échangé. Marie tirait sur le lien, qu’elle arrivait à allonger car la sangle du crochet était en caoutchouc. Elle n’avait encore rien dit, mais il sentait qu’elle allait protester. Et puis Prune lui parle à l’oreille. Marie se calme. Elle ne proteste pas plus lorsqu’on lui met un foulard sur les yeux. — Qu’est-ce qu’elle t’a dit ? lui demande Cédric.— Rien que de bien banal. Que je ne risquais rien. Qu’elle serait toujours à mes côtés. Que toi aussi. Qu’à chaque instant il me suffisait de dire non.— Ah !— Mais toi, tu savais ? Je pensais assister à une soirée particulière, mais avec Sylvie dans le première rôle.— Non, on ne m’avait rien dit. Moi aussi je pensais…— De toute façon, tu t’es bien rincé l’œil et le reste, sûrement. Je ne sais même pas si tu étais là. Après tout, ce film va me permettre de voir ce que faisait mon mari pendant que sa femme était aveuglée et immobilisée.— Tu verras… Maintenant que Marie est à la merci des autres, c’est une ronde autour d’elle. D’abord Prune qui l’embrasse, puis Sylvie, puis les hommes. Pendant ce temps on la caresse. Aucun centimètre de sa peau n’est épargné. Les hommes lui font sentir leur érection naissante en se frottant à elle, en glissant leur sexe entre ses cuisses. ...