1. Le torrent


    Datte: 22/02/2019, Catégories: 2couples, fhhh, grp, couplus, cocus, inconnu, vacances, plage, piscine, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, échange, attache, yeuxbandés, confession,

    ... En se voyant, Marie se sent gênée. C’est comme si les images affichaient les pensées qu’elle a eues au début, lorsqu’elle a réalisé que d’autres hommes que son mari et son amant Pascal allaient profiter d’elle. Un mari, un amant, sa femme, tout cela faisait presque histoire gentillette à côté de ce qui pouvait se passer. Et Cédric ? Que pensait son mari de la voir avec d’autres hommes que l’amant qu’il lui avait choisi ? Oh ! Elle vient d’avoir la réponse. La caméra a abandonné, un instant, la « soumise » car c’est ainsi qu’elle s’est sentie, pour filmer le mari partageur. Il bande. Confortablement installé dans son fauteuil, un verre à la main, monsieur bande. Manifestement, il n’a d’yeux que pour le spectacle qui se déroule devant lui. — Cochon… lui dit tendrement Marie, sans cependant cesser de regarder la télé.— Coquine ! Mais il n’y a pas que les sexes qui se frottent entre ses cuisses : une bouche, celle de Sylvie, vient les remplacer, puis par derrière celle de Prune vient s’y associer. Marie revit cet instant magique où mille bouches la sucent, la lèchent, la câlinent pendant que mille mains se glissent partout et que des sexes, maintenant durs, se mesurent à elle en se frottant à ses cuisses. La caméra tourne autour d’elle. Elle n’est qu’une proie que ses « bourreaux » utilisent à leur guise. Un long moment le film la montre, de plus en plus excitée, ne cessant de tirer sur ses liens, non pas pour chercher à s’en dégager, mais au contraire pour trouver la position ...
    ... qui lui apportera le plus de plaisir. En regardant, Marie sent à nouveau les deux langues qui jouent avec son clito et sa rondelle, la pression sur ses seins, ses tétons qui roulent entre des doigts, son cou couvert de baisers. Progressivement, la chambre se remplit de ses gémissements. Cela commence par une respiration qui s’accélère, un essoufflement, des grondements. Et puis le souffle se structure. On entend des « oui… », des « encore ». Mais bientôt elle semble perdre pied. Son visage, en gros plan sur la télé, ne nécessite pas d’explications. De ses lèvres ne sortent plus que des petits cris, de plus en plus forts, de plus en plus aigus, devenant si prenants que Cédric doit baisser le son pour ne pas déranger les enfants. Cédric ne regarde pas l’écran. Lui a déjà assisté à cette scène, en vrai, hier. Il en a été l’observateur attentif et heureux. Non, c’est la femme assise à côté de lui dans son lit qu’il regarde. Elle semble subjuguée, comme si elle découvrait une inconnue. Lorsque la jouissance la submerge sur l’écran, que le corps se tortille sous le plaisir et que sa bouche libère un râle informe, elle se tourne vers son mari et croise son regard. Cédric lui sourit, et avec toute la tendresse dont il est capable il dépose un baiser sur ses lèvres. Sur la télé, l’enchevêtrement des corps laisse la place à un trio. Les femmes se sont levées. Ne restent que John et Régis qui se sont placés de part et d’autre, remplaçant le doux souvenir de langues brûlantes par leur deux ...
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