La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°892)
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode N°887) – - Profite de ton week-end avec tes filles. Walter viendra vous chercher dimanche après-midi pour les ramener à l’aéroport, avant de te ramener au Château. A très vite, Ma petite chienne !... Et il partit, me laissant emplies de milles sensations différentes, mais heureuse comme je l’avais rarement été… Le week-end passa rapidement, et j’accompagnais avec regret à l’aéroport mes filles que je ne reverrai pas avant au moins deux mois. Mais j’étais également excitée et heureuse de reprendre ma place à temps complet aux pieds du Maître ! Dès que je remontais dans la voiture, à l’arrière et non coté passager cette fois-ci, Walter m’ordonna de me dévêtir, de passer mon collier et ma laisse qu’il attacha à l’appui-tête de son siège, et je dus me mettre à quatre pattes au sol, ayant le droit de passer cinq minutes les fesses sur mes talons, assise comme une chienne de temps en temps pour me reposer…. Arrivés au Château, sans un mot, Walter m’emmena au Chenil, où je retrouvais avec plaisir ma niche. Sur mon épaisse couverture, je trouvais un message écrit de la main du Maître : - « Quand le clocher du village sonnera minuit, rejoins-Moi dans Ma chambre ». À cet instant précis, j’entendis sonner vingt heures. Quatre heures à attendre… Que faire en attendant ? Je me serais bien reposée un peu, mais si je n’entendais pas minuit sonner ? Et dans ma niche, je n’avais rien pour m’occuper, pas même un livre. De toutes manières, nous étions ...
... en hiver et la luminosité n’était pas suffisante pour pouvoir lire. Alors je décidais de méditer, et pour ne pas m’endormir, je restais assise enveloppée de ma couverture le dos ne touchant pas la paroi de ma niche. Malgré cette précaution, la fatigue finit par l’emporter et je m’affaissais petit à petit… Je fus réveillée en sursaut par les aboiements d’un des vrais chiens de Monsieur le Marquis. Quelle heure pouvait-il bien être ? La cloche de l’église sonna un coup. Il était la demie. Oui mais de quelle heure ? J’essayais de ne pas paniquer et de réfléchir à un moyen de connaître l’heure. J’avais l’impression d’avoir au moins dormi trois heures. Je me dirigeais vers l’entrée du Chenil, à quatre pattes, car je savais que toutes parties du Château étaient équipées de caméras. Mais les grilles étaient fermées, il est vrai que Walter clôturait tout dès que chacun était à sa place. Je retournais bien au chaud dans ma niche et patientais tant bien que mal attendant le prochain son de cloche qui m’annoncerait si j’allais regretter de m’être assoupie… Quand la cloche commença a sonné, je comptais anxieusement les coups… Il était minuit ! Je n’étais pas en retard ! Mais comment rejoindre le Château ? J’avais vu une demi-heure plus tôt que la grille était fermée. Alors que je faisais des allers-retours devant celle-ci en me demandant comment sortir, j’entendis des pas dans l’allée de gravier qui bordait le Chenil. C’était Walter qui venait m’ouvrir. - Allez, la chienne ! Je t’emmène ...