1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°892)


    Datte: 22/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pisser, un passage vite fait à la douche et après le Maître t’attend. Tu dois être à minuit et demi chez Lui. Et il m’entraîna dans la nuit noire vers un arbre. Sans le moindre complexe, ni la moindre pudeur, je me positionnais et lever la patte arrière pour pisser contre le tronc de ce majestueux marronnier. Ensuite Walter m’emmena vers les écuries, prit le tuyau d’arrosage et m’aspergea d’eau glacée. Je me séchais devant une grande soufflerie qui ventilait de l’air bouillant, ce qui me réchauffa très rapidement. Je me dépêchais après de retrouver les appartements privés du Maître parmi le dédale des couloirs. Même si je l’avais vu quelques fois pendant cette semaine de vacances, cela n’avait pas la même saveur que de vivre ma soumission au Château… À minuit et demie tapante, je frappais à la porte de la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans. Sur Son ordre, j’entrais dans la pièce et après avoir refermé derrière moi, je me prosternais et attendais. - Ah Ma chienne ! Je suis heureux de te revoir dans Ma demeure ! Je préfère que Mes chiens et Mes chiennes soient sous Mon toit, pour pouvoir M’en servir dès que J’en ai envie et selon Mes humeurs ! Et Il alla s’installer derrière Son bureau, sans plus m’adresser un mot. Je restais dans la même position sans bouger, attendant un ordre qui n’avait pas l’air de vouloir venir. Il travaillait sur un ordinateur portable, et ne faisait pas attention à moi. Une heure sonna. Le Maître leva la tête vers une haute horloge placée dans un ...
    ... coin de la chambre, une horloge qui devait avoir plusieurs siècles au vue de son style et que plus d’un antiquaire s’arracherai à prix d’or !… Il claqua des doigts, me faisant mettre à quatre pattes, et pointa son pied de son index pour m’indiquer la place qu’Il voulait me voir prendre. Je me dépêchais de venir me prosterner à Ses pieds. Il les avait nus. Je mourrais d’envie de Les embrasser. Mais je n’en eus pas l’occasion. Le Maître ouvrit Son pantalon qu’Il baissa, ainsi que son boxer, et claqua à nouveau des doigts. Je me redressais à genoux, ouvrit la bouche et voulut prendre Sa queue entre mes lèvres mais Il m’en empêcha. - Ouvrir la bouche, oui c’est bien, mais garde-la ouverte ! J’ai besoin de me soulager. Surtout n’en laisse pas tomber une seule goutte, sinon tu le regretteras ! Et Il prit Son sexe en main, le dirigea vers moi et pissa dans ma bouche. Je lui fus reconnaissante de pisser par à coup pour me laisser le temps d’avaler. À la suite de ce breuvage chaud, je Lui nettoyais Sa queue, et la sentant gonfler, je pris l’initiative de L’enfoncer plus profondément, de Le sucer, de Le pomper, goulument, avec gourmandise. Le Maître, ayant apprécié, n’en restait pas moins maître de la situation, et me saisit la tête entre les deux mains, m’empêchant le moindre mouvement et me baisa littéralement la bouche comme s’il me pénétrait la chatte, s’enfonçant profondément, me provoquant des haut-le-cœur que je m’efforçais de contrôler. Il déchargea au fond de ma gorge et resta ...