Champagne ! (1)
Datte: 25/02/2019,
Catégories:
Gay
... n’était pas circoncis, et son prépuce invitait à découvrir ce qu’il renfermait. — En v’la une de bite ! Il me fixa et son regard sonna comme un défi. Il pensait me prendre à mon propre jeu. Il attendait que je fasse machine arrière et que j’avoue ne pas assumer. Il ne se doutait pas un seul instant que les choses devenaient de plus en plus intéressantes pour moi. J’ai soutenu son regard et j’ai pris ma coupe de champagne dans la main en guettant sa réaction. Le pire scénario serait que ce soit lui qui tout à coup n’assume plus son défi. — T’es sûr que toi aussi, tu peux assumer ? Lui demandais-je. — Je me démonte jamais, mec. J’ai sauté sur l’occasion. Je me suis rapproché et me suis mis à genoux devant lui pour être plus à l’aise. Rien que cette position m’a déjà donné la gaule. J’ai fait glisser mon verre entre ses jambes et je l’ai remonté pour y faire rentrer sa bite, au diamètre presque identique. Une fois bien trempée dans le champagne, j’ai retiré le verre et j’ai donné un coup de langue sur tout le long de sa queue. Puis un autre. Et encore un autre. Elle était délicieuse. Je mourrais d’envie de la prendre en bouche. — Alors, blablabla ? Je lui ai demandé en levant les yeux. — OK, t’as gagné, je m’incline. J’ai redonné quelques coups de langue, espérant voir le chibre se dresser. — Je pense que c’est bon là, y’a plus de champagne, a-t-il dit en se reculant un peu. — Je peux toujours en remettre un peu… Après une hésitation, il a hoché les épaules. Je ne lui ai ...
... pas laissé le temps de réfléchir plus et j’ai replongé son membre dans mon verre. Cette fois, je l’ai pris tout entier en bouche pour le retirer tout doucement. J’étais au comble de l’excitation. Ma bite était tellement serrée dans mon boxer que ça en était presque douloureux. Au moment de plonger le chibre une troisième fois dans le nectar, j’ai délicatement tiré sur la peau pour libérer le gland rosé de son fourreau et je l’ai léché longuement. Il ne bandait toujours pas, mais j’avais l’impression que la pine grossissait un peu. — Ça te plait ? Me suis-je risqué à demander. — C’est malheureux à dire mais j’ai l’impression que ça fait trois plombes qu’on n’a pas touché à ma queue… — Je peux continuer si tu veux… Je parlais tout en déboutonnant sa chemise. — Je sais pas… — Personne n’en saura rien, c’est promis. J’ai repris mon verre et versé un peu de champagne sur son torse pour le lécher. Je promenais ma langue et mes mains sur son torse, son ventre, ses tétons. Je l’ai senti se caresser la bite pendant que je sortais le grand jeu pour l’exciter. J’ai remonté ma langue sur son cou, puis le lobe de son oreille. Une de mes mains est partie rejoindre la sienne entre ses jambes. Je l’ai senti soupirer. — Et puis merde…a-t-il murmuré. Il a attrapé mon visage et a enfourné sa langue dans ma bouche. Je lui ai répondu, n’en revenant pas. J’avais réussi à le convaincre, il fallait que j’en profite au maximum. Je caressais sa langue avec la mienne, mordillais sa lèvre. Mes mains ...