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Champagne ! (1)
Datte: 25/02/2019, Catégories: Gay
... retirer pour calmer le jeu. — T’avais raison, t’es un pro ! Me félicita-t-il tandis que j’essayais de retrouver une respiration normale. Puis, après un petit instant de flottement : Tu mérites bien une récompense pour ça… Je sentis ses mains toujours sur l’intérieur de mes cuisses descendre jusqu’à frôler mes joyeuses. Puis il empoigna ma bite à pleine main. Je sentis une décharge électrique me parcourir tout le corps. Il me présenta de nouveau son chibre tout en me branlant vigoureusement. Je repris en bouche son membre encore gluant de ma bave sans pouvoir me retenir de gémir de plaisir. Ses mains étaient chaudes, incroyablement douces et terriblement puissantes à la fois. L’une d’elles coulissait le long de ma verge pendant que l’autre me malaxait les boules avec force. L’espace d’un instant, son rôle de dominateur s’estompa un peu et j’eus l’impression de partager un moment en parfaite harmonie, chacun affairé autour du plaisir de l’autre. Mais j’étais bien trop excité par la situation pour être endurant et moins de trois minutes de ce délicieux traitement suffirent pour que je sente ma bite se contracter. J’eus envie de le prévenir, mais ma bouche était toujours pleine. Un premier jet de sperme vint s’écraser sur mon torse et Johan ralentit la cadence de ses mouvements. Mon chibre fut pris de soubresauts et expulsa trois autres jets de liquide blanc. Sans lâcher ma verge, il retira sa queue de ma bouche et me regarda. — T’aimes ça, le foutre ? J’ai hoché la tête pour ...
... dire oui. Il passa ses doigts sur son ventre pour ramasser un maximum de montre chaud et me les fit lécher. J’avalai goulument ma semence. Il répéta l’opération mais cette fois en recueillant le reste de mon sperme dans la paume de sa main qu’il utilisa pour enduire sa queue. — Vas-y bouffe. Je repris une fois de plus sa bite en bouche en tentant cette fois de la nettoyer au maximum. Ma langue ne savait même plus où donner de la tête. Une fois chose faite, Johan me fit signe de me relever. — Mets-toi à genoux. Si t’aimes le jus j’ai un cadeau pour toi. Je m’exécutai. Il fléchit légèrement les jambes, se cambra en avant et s’astiqua frénétiquement le chibre. Du bout de la langue, je vins titiller le bout de son gland de plus en plus humide. Au bout de quelques secondes, je vis les muscles de ses jambes se contracter, sa queue frémir. — Ah putain, ça va sortir ! Je vais cracher ! Il posa le bout de sa bite sur ma langue tendue et je goutai son délicieux nectar qui coulait dans ma bouche au rythme de ses éjaculations ponctuées par de bruyants râles. Quand plus rien n’en sortit, j’entrepris de lécher le membre pour être certain de ne rien gâcher. L’atmosphère changea tout à coup en un claquement de doigts. Nous étions tous les deux nus au milieu du restaurant dans lequel nous travaillions, les couilles vidées, le souffle court, et le silence s’installa. Je me redressai et il se retourna pour chercher son boxer. Il était visiblement gêné. Toujours sans mot dire, nous nous sommes ...