1. Arrivée sur l'île


    Datte: 25/02/2019, Catégories: fh, ffh, plage, bateau, amour, jalousie, 69, pénétratio, fsodo, aventure,

    ... tard. J’entends un bruit sourd et le moteur s’arrête brutalement : on a touché avec l’hélice. Je jette désespérément l’ancre en espérant qu’elle accroche, sinon nous serons drossés sur les rochers. Trente minutes plus tard, nous sommes prostrés dans la cabine du bateau. J’ai vérifié, il n’y a pas de voie d’eau, mais nous sommes bloqués : pas de grand-voile, et arbre d’hélice certainement faussé. J’ai affronté de nouveau la pluie et le vent pour mettre une deuxième ancre afin de sécuriser notre mouillage. Catherine ne semble pas apeurée ou en colère, mais résignée. Il nous faut attendre la fin du coup de vent pour réfléchir. Avant de se retourner sur sa couchette elle me dit : — Frank, ce coup-ci ce n’est pas ta faute, mais avec toi rien ne fonctionne !— Je suis désolé…— Ça, tu sais le dire ! Je retourne Catherine de force et me penche sur elle pour l’étreindre. Mes mains se glissent sous son tee-shirt et emprisonnent ses petits seins ; elle me rend mon baiser presque avec brutalité. Je la déshabille tout en la laissant allongée sur la couchette ; elle m’aide en se trémoussant. Débardeur, short, soutien-gorge et petite culotte volent dans la cabine. Je l’embrasse sur tout le corps en finissant sur son intimité où ma langue se perd dans les recoins de son sexe. Je finis par la pénétrer brutalement et nous faisons l’amour comme des forcenés. Tout à coup elle se dérobe et me fait signe de m’allonger sur le dos, puis elle vient se positionner au-dessus de moi tout en m’embrassant ...
    ... et prend la direction des opérations en se tortillant comme une damnée. Quelques minutes plus tard, je suis à moitié endormi. Catherine s’écarte un peu de moi et me regarde avec ses beaux yeux bleus et durs : — Ce n’est pas parce que tu me fais jouir que je te pardonne… ********************************* Je me réveille en sueur. J’ouvre les yeux : une lueur aveuglante qui arrive du hublot m’éblouit. Dehors, il fait plein soleil. Je regarde ma montre : huit heures. J’ai dormi vraiment longtemps. Je sors sur le pont ; Catherine y est en train de boire un café. — Ciao Frank, bien dormi ?— Pas mal. La tempête est finie ? Ça va vite, ici. Il y a encore du café ?— Oui, il doit être encore chaud. Regarde : nous allons avoir de la visite. Elle m’indique la plage qui est distante d’environ 500 mètres. J’y aperçois un canot avec deux personnes qui viennent vers nous à la rame. Le temps de boire une tasse de café et c’est un couple qui nous aborde : deux jeunes gens blonds come les blés, un peu plus jeunes que nous qui, sur notre invitation, montent à bord. La fille parle anglais avec un fort accent guttural. Le garçon, comprenant que nous sommes Français, essaie maladroitement de nous saluer dans notre langue puis poursuit lui aussi en anglais. Après, une présentation sommaire ; il s’appelle Manfred et est Suédois tandis que la fille, elle, s’appelle Marion, Allemande. Nous engageons la discussion. — On a vu votre bateau arriver hier au soir et nous voulions voir si vous aviez besoin de ...
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