1. La plus belle avenue du monde


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fh, fdomine, hdomine,

    ... sensible, au moment où il déboutonnait sa propre chemise, au léger mouvement de croupe de sa partenaire, sans doute involontaire, mais qu’il interpréta positivement comme l’indice d’une attente. Il aima encore, quand il enleva son pantalon, voir les efforts de contorsion de la femme pour tourner le cou et regarder derrière elle. Il fut rapidement nu et put librement faire plusieurs fois le tour de la table. La tentation fut évidemment trop forte et il ne résista pas au plaisir de se positionner, debout, exactement au niveau de la bouche de la femme. Il n’eut aucun besoin de lui faire part de ses souhaits car d’elle-même, elle tendit sa bouche vers le sexe de l’homme. Elle avait, là encore et une fois de plus, tout compris parfaitement. Leurs désirs se rejoignaient sans avoir besoin de les formuler. Il avait souhaité sans le dire qu’elle ne bouge pas d’un centimètre les quatre points d’appui que constituaient, sur la table, ses paumes et ses genoux. C’est par les seuls mouvements de son torse et de sa bouche qu’elle devait accéder au sexe de l’homme. Elle mit toutefois un peu de temps à le saisir car il aima, au moment il la voyait s’en approcher totalement, effectuer un petit mouvement de recul qui éloignait l’objectif. Elle devait dans ces moments faire l’effort de tendre son cou vers l’objectif. Il trouva superbe cette situation qu’il compara à ces mouvements du bébé vers son biberon ou de l’assoiffé du désert vers la source d’eau fraîche. Il aima la voir tendre son cou, ...
    ... pour atteindre son sexe. Mais il ne résista pas longtemps lui non plus et laissa bien volontiers cette superbe femme prendre en bouche son sexe dressé. Elle le fit goulûment, avec une belle application et beaucoup de conviction. Peu habituée à la chose, lui avait-elle avoué, elle devait en avoir longtemps rêvé pour la pratiquer avec un art pourtant si consommé. Mais c’était aussi une preuve d’intelligence, qu’elle avait grande, et de désir, qu’elle avait puissant, que de trouver de manière presque naturelle les gestes et les pratiques immémoriales que les mammifères ont su appliquer de tous les temps et qu’une restrictive morale judéo-chrétienne avait stupidement proscrits. En un mot elle entreprit une divine fellation ou, plus naturellement dit, elle le suça avec douceur, énergie, talent et application. Alternant opportunément des petits coups de langues délicats, des succions plus lentes des différentes faces du membre viril, des aspirations complètes et des mises en bouche profondes. De temps en temps, les joues gonflées du sexe qu’elle tenait en bouche, elle relevait les yeux vers ceux de Jérôme, à la fois parce qu’elle avait cru comprendre, là encore, que « cela se faisait », fait aussi pour essayer d’y lire les signes animaux d’avancement de la besogne et de contentement du bénéficiaire. Il n’y avait guère que de ses mains dont elle ne pouvait se servir, obligée qu’elle était de les garder à plat sur la table pour conserver cette position de louve – de chienne ? – qu’ils ...
«12...567...12»