La plus belle avenue du monde
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
fh,
fdomine,
hdomine,
... de la belle virilité de son partenaire et fut satisfaite des moments futurs et chauds que tout ceci laissait augurer. Ils décidèrent à ce moment d’un très long et très profond autre baiser qui fut l’occasion pour lui de progressivement et lentement remonter la jupe de qualité de sa partenaire, de vérifier avec plaisir la présence de ces bas et des porte-jarretelles annoncés, d’empaumer pour la première fois de la journée ses fesses fermes et prometteuses, de les malaxer avec lenteur et délicatesse, et de constater que la culotte, blanche, semblait, déjà, ne plus être complètement indemne des premières, humides et sans doute odorantes (ceci sera à vérifier, pensa-t-il avec gourmandise) manifestations du plaisir naissant et, pour l’heure, descendant. Ils mirent fin à ce superbe baiser, se regardèrent en souriant, mais sans parler – à quoi bon ? – et il lui ôta complètement sa jupe en conservant toutefois le long foulard, qu’elle avait apporté, et qui constituait, autour de son cou, le seul habit du haut de la personne. Pour le bas ? Une culotte de soie, on l’a vu, qui enserrait juste comme il fallait des formes appétissantes ; des bas, noirs cette fois-ci, qui mettaient néanmoins bien en valeur le galbe des jambes fuselées et des escarpins hauts et fins qu’il ne lui fit pas enlever, pour le moment. Il aima la contempler un instant ainsi, dans l’embrasure de cette fenêtre qui donnait sur les Champs-Élysées. Lui prenant doucement la main, il l’aida à monter sur la très grande ...
... et très belle table de chêne massif – une « table de monastère » disait-on, même si les moines devaient en faire un usage plus chaste que celui qui serait dans les prochaines minutes dévolu à cette table – et à se positionner, à quatre pattes, en son milieu. — Oui, Hélène, c’est bien ici que je vais vous baiser. Ils avaient tous les deux compris qu’ils appréciaient beaucoup l’un et l’autre cette succession de mots très crus et directs, dont la morale stricte leur avaient jusqu’ici interdit l’usage, avec des attentions plus classiques et délicates, auxquelles ils avaient été davantage habitués. Elle avait bien sûr compris depuis plusieurs minutes déjà que c’est dans la dernière pièce de la visite, celle dans laquelle ils se trouvaient en ce moment, cette salle de réunion ouverte sur les Champs-Élysées, très vraisemblablement sur cette table (pourquoi y aurait-il sinon placé cette douce, épaisse et accueillante feutrine ?), qu’il la baiserait pour la première fois aujourd’hui mais elle ressentit, à entendre Jérôme évoquer si crûment les moments imminents, un redoublement de plaisir et une belle jubilation intérieure. Elle se laissa faire avec une totale docilité. Il jugea plus simple, à ce moment-là, laissant quelques instants la femme louve ainsi offerte au milieu de la table, en appui sur ses mains et ses genoux, de se déshabiller tout seul. Il le fit avec calme, sans précipitation exagérée, en prenant le temps de la contempler, parfois longuement. Il fut par exemple assez ...