L'hésitation
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
grossexe,
volupté,
pénétratio,
... diffusant de la musique hip-hop et essentiellement fréquentée par des blacks. J’étais une des rares blanches présentes et en tout cas, la plus remarquable. Car en dehors de ma couleur de peau, j’étais la seule habillée en tailleur et jupe courte, tenue classique de travail. De plus, les autres blanches étaient aux alentours de la vingtaine d’années, plus jeunes que moi, habillées de jeans et haut moulant. Elles étaient toutes accompagnées soit d’une bande de copains soit de leur amoureux. J’étais la seule à entrer en solitaire dans la salle. Du coin de l’œil, j’aperçus le groupe que j’ai suivi s’installer un peu à l’écart. Moi, je m’installais au bar et commandais à nouveau, peu soucieuse de mon état d’ébriété légère. Dans un premier temps, je fus assaillie par des dragueurs de tous âges mais je leur affichais une indifférence, ne pouvant me retenir de jeter un coup d’œil de temps à autre sur le grand black inconnu. Vers une heure du matin, j’étais toujours à la même place, les cheveux lâchés et le col de ma chemise blanche un peu plus ouverte qu’en début de soirée. Je n’avais pas dansé une seule fois, n’avais pas bougé une seule seconde de mon siège. Je me demandais toujours ce que je faisais là. Tout à coup, quelqu’un me tapota dans l’épaule. Je me retournais et un black filiforme se tenait devant moi : — Sister … Il y mon patron là-bas qui voudrait t’inviter à notre table. Ce faisant, il indiqua précisément la table où le grand black que je n’arrêtais pas de mater était ...
... assis. Lui me regarda avec un air neutre et indifférent. Sans le savoir, je n’attendais que ça : je me levais subitement et légèrement titubante, je suivis le sbire vers la table. On me fit de la place et m’installa auprès de l’Homme. Il m’entoura naturellement les épaules de son bras, comme si on se connaissait depuis des lustres. Je ne réagis pas, le laissant faire. Il héla un serveur qui m’apporta aussitôt un cosmo qu’il, détail qui m’échappa, savait être mon cocktail préféré et celui que je buvais au bar durant toute la soirée. — Tu t’appelles comment ?— Flower, mais mes amis m’appellent Flo.— Flower … Comme la fleur ?— Oui— C’est ton vrai nom ?— Oui oui, je t’assure…— Bizarre. En tout cas, c’est joli— Merci.— Eh bien santé Flo.— Santé… euhh ?— Moi, c’est François.— Santé François. Il avala d’un trait son whisky. — Tu viens directement du boulot là ? Je mentis : — Oui, une amie m’a conseillé cette boîte mais elle m’a fait faux bond en milieu de soirée pour repartir.— Pourtant, il me semblait que tu es arrivée seule. Je bafouillais comme une gamine d’être surprise dans mon mensonge. Il continua : — Tu n’étais pas au bar au coin de la rue, un peu plus tôt ?— Euhh si … Voyant mon embarras, il détourna adroitement la conversation, et la passa dans le surréaliste futile. — J’adore ta tenue, Flo.— Pourquoi ? Elle est, on ne peut plus classique.— En tout cas, pas en boîte.— Oui, c’est vrai. C’est ma tenue de travail.— C’est quoi ton job ?— Je suis commerciale dans une boîte de ...