Trois salopes
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Débauches, luxure, libertinage, coucheries, puteries… sont les lieux communs des amies dont j’aime à raconter les aventures troublantes et désirs de vice. Des salopes ? Oui, elles ont aimé qu’on les traite ainsi et cela a excité leur liberté : « je suis une salope », « je vais faire la salope », « je vais me faire saloper »… expressions maintes fois entendues. Je vais raconter de façon non systématique quelques épisodes vécus, des fantasmes, des jeux, des goûts, plein de choses qui devraient faire mouiller et bander les lectrices et lecteurs. Leur donner des idées, peut-être. Il y aura trois « salopes » : C. (Christine, brune, pisseuse, assez pute) ; L. (Laure très sensuelle, brune aussi, prof et débauchée), M. (Michelle, infirmière, partouzeuse, toujours prête à ouvrir les cuisses, même en public.) - C. Christine donc : brune assez bien en chair, pas regardante sur le physique ou l’âge des types mais très intéressée par leurs bites. Pute ? Elle n’avait rien contre le fait de vendre ses services pour un billet. Avec elle, il suffisait de demander. Toujours prête à montrer ses petites culottes bien compissées et arrosées de la cyprine qui ruisselait en abondance de sa belle chatte jamais rassasiée. Elle aimait porter les tenues que je lui imposais : mini en cuir, petites culottes en coton blanc, pas de soutif. Elle ouvrait facilement les cuisses pour exciter les inconnus qui la mataient, allait dans les toilettes du bistro ou du restau et baisait comme une salope qui découvre ...
... le paradis. Elle adorait ces situations, sortait la nuit en quête de queues érigées qui l‘enfileraient. Elle rentrait me retrouver toute fière et excitée pour me raconter ses exploits. Je constatais le fruit de ses débauches : chatte en feu, culottes trempées de pisse, de foutre. Un jour, dans le métro à une heure d’affluence elle se colle contre un type, moi face à elle. Elle est en jupe très courte, elle se frotte contre le type tout en me regardant. Demandant ma complicité. Avant d’arriver à la station suivante il y a interruption du service prévue pour dix minutes. Chance ! Le type profite de la situation, la doigte. Elle se laisse faire, se trémousse, me dit à l’oreille ce qui se passe. Nous sortons à la station suivante. Elle me dit qu’elle a envie de se faire baiser par un inconnu. Je suis d’accord. Nous allons dans un café. Elle prend des poses érotiquement non ambiguës pour allumer un type. Je lui dis d’accord mais à condition qu’elle pisse dans sa culotte. Elle revient, soulagée : elle a pissé et s’est faite enculée. Christine est une vraie pisseuse, une vraie salope. - L. Laure. Une collègue de lycée, brune et très sensuelle, de belles formes. Deux fois par semaine, en fin de journée, elle me raccompagnait dans sa voiture vers Paris. Souvent elle avait changé sa tenue et revêtue une jupe courte découvrant ses cuisses qu’elle écartait plus que nécessaire. Elle m’excitait et m’incitait. Je compris vite ses envies. Elle savait que je bandais. Ma main ne tarda pas à se ...