1. Trois salopes


    Datte: 28/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... poser sur son genou et à remonter. Elle n’opposa aucune résistance, bien au contraire. Elle était mouillée. Les embouteillages nous permirent de continuer nos explorations anatomiques, les mots crus, peu académiques, surgirent spontanément de nos bouches. Nos langues, nos mains jouèrent librement. Délices. « J’aime faire les salopes » me dit-elle un jour. « Je mouille en pensant à toi alors que je fais cours attendant notre petite séance de retour. » Elle fouillait dans ma braguette, je bandais. Elle aimait les grosses bites, avait envie de me sucer. Elle aimait se faire mater par les camionneurs, elle écartait les cuisses alors, remontait sa jupe pourtant bien courte. Un jour elle se gara sur une aire de repos d’autoroute prétextant une envie pressante. Elle avait une forte envie de se faire baiser. Elle accosta un routier, monta dans son camion et revint quelques minutes après, soulagée, en effet. Elle me dit qu’elle avait fait ça pour moi tant je l’excitais. Elle m’invita un jour à une soirée organisée chez des amis à elle : quatre couples, on devait tous être en short (cuir ou jean), la soirée devait être très chaude. ...
    ... J’apportais une bouteille de vodka et un short en cuir. Elle portait un short en jean très court taillé dans un pantalon de grande taille si bien qu’elle était très indécente. Les autres couples (un plus jeune et deux vieux) étaient aussi très indécents. On ne tarda pas à en venir à l’essentiel. Laure n’était pas la dernière à se faire tripoter sous son short bien ouvert entre ses cuisses et à passer sa main dans l’entre jambe d’un type qui lui plaisait. Branlages, excitations. La soirée fut sous le signe du dévergondage. Elle aime tellement malaxer les couilles, les grosses bien chargées de jus ! Elle se livra à la luxure sans retenue. Les autres aussi, doigts par ci, doigts par là puis bites enfoncées devant, derrière comme il se doit. Laure jouissait, elle jouait les débauchées, elle, gentille prof d’histoire. Dévergondages dont elle n’était jamais rassasiée. Envies de choses de plus en plus crades, vulgaires, elle n’osait pas. Nous nous stimulions : mots crus (pisseuse, salope, pouffiasse, con, chatte, cul, trou, bite, couilles –litanie d’obscénités jamais assez obscènes). (Il y aura une suite si j’ai de bonnes lectures incitatrices) 
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