1. Elina s'organise elle-même une soirée gand-bang (5)


    Datte: 28/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Comme je ne suis pas sensée rentrer chez moi avant demain, je décide de trouver refuge dans un hôtel pour me laver de toute souillure, soigner les blessures qui peuvent l’être, dissimuler celles qui ne sauraient être guérie immédiatement par un savant maquillage recouvrant. J’ai apporté une valise et c’est, rompue, qu’après ces 24 heures de sexe et de tortures, tant physiques que psychiques, je ferme les yeux, désireuse de trouver un vrai repos réparateur. Embrumée par la fatigue, je pense à Lui. Je suis fascinée. J’ai envie de Lui. Je suis captivée. Je suis complètement obsédée par un Homme dont je ne connais rien, pas même l’apparence et qui fait naître en moi des désirs de femelle juste bonne à être saillie par des mâles sans pour autant daigner la juger digne de recevoir son jus de couilles. Je m’endors quelques heures rêvant d’être l’objet de son bon vouloir. Mais quand je me réveille, c’est encore le soir, la tête me tourne, ma chatte me tourmente à nouveau et je sais que, non, je ne pourrai pas dormir, cette nuit, j’ai besoin de me faire baiser pour trouver l’apaisement. J’ai besoin aussi de me prouver que je n’ai pas besoin de Lui, que je peux « m’éclater » sans Lui, que je vais L’oublier très vite, que je peux gérer ma double vie sans m’attacher à qui que ce soit et sans contrainte. Je cherche de manière désordonnée dans mon sac une jupe courte et un chemisier transparent et j’enfile à la hâte. Ce ne sont que mes vêtements de travail, les éléments d’un tailleur ...
    ... classique, je n’ai rien apporté de sexy, je n’ai que ce tailleur trop sérieux mais je sais comment adapter ces pièces vestimentaires pour leur donner le pouvoir d’exprimer ce que j’ai envie d’exprimer avec cette tenue. Je me parfume et pose sur mes lèvres un maquillage rouge écarlate. Je me regarde dans le miroir et ce rouge à lèvres est un véritable appel au viol buccal. C’est très exactement le message que je veux envoyer. J’enfile mes escarpins à talons très hauts, ma silhouette est impeccable. Je me sens reprendre le pouvoir sur ma vie dont « l’Inaccessible pour moi » a voulu prendre la direction. Dans l’ascenseur de cet hôtel, deux hommes me matent puis se regardent avec un sourire graveleux. Il faut dire qu’il y a de quoi mais ils n’ont encore rien vu. Je les trouve à mon goût, la trentaine, habillés sportwear « chic et décontracté » comme on dit maintenant. Grands, car étant grande moi-même, ils me dépassent largement. L’ascenseur s’arrête comme je l’ai demandé à la mezzanine où se trouve le bar de l’hôtel. Sans surprise, c’est à cet étage que les deux hommes descendent également et nous entrons dans l’espace dédié à la détente. Il y a plus d’hommes que de femmes : visiblement des commerciaux en déplacement, des cadres en formation loin de chez eux. Mon arrivée ne passe pas inaperçue. Il faut dire que n’ayant pas apporté de vêtements qui disaient « Baisez-moi », je n’ai rien mis sous mon chemisier blanc et transparent d’attachée de direction. J’ai deux enfants et quoi que ...
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