Elina s'organise elle-même une soirée gand-bang (5)
Datte: 28/02/2019,
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Dans la zone rouge,
... je sois mince et ferme grâce au sport, mes mamelles qui ont allaité sont plus lâches que lorsque j’étais jeune mais elles ont gagné en rondeur et cette souplesse rend les hommes encore plus avides de les empoigner, de les malaxer et de les gober ainsi qu’ils l’ont fait des seins de leur propre mère. Mes tétons sont durs car, depuis que je me prépare l’excitation qui m’a envahie, ne m’a pas lâchée. Mes bouts roses pales sont dressés et il n’est nul besoin d’imagination pour comprendre la raison de ma venue dans ce bar. La quinzaine de personnes s’est tue et me suis du regard. J’ai trouvé des yeux les deux jeunes mecs de l’ascenseur qui sont venus retrouver un troisième larron debout au bar. Ils constituent l’unique groupe dans lequel il n’y ait pas de femme. Ils se chuchotent des paroles à l’oreille, me matent sans retenue, alors je marque un arrêt en écartant légèrement les jambes et en posant une main sur ma taille. Je me laisse contempler quelques secondes et je me dirige droit vers eux et, sans même leur demander quoi que ce soit, je fais lever un des hommes et m’assieds sur son tabouret, jambes nues croisées. Tous, dans la pièce, me regardent et je vois à leurs mines déçues qu’ils regrettent bien d’être venus en déplacement avec une collègue femme. - Salut les mecs, moi c’est Elina… Envie de m’offrir un verre peut-être ? - Certainement me réponds avec une assurance qui me séduit le 3ème. Que prendrez-vous, belle Elina ? - Un mojito, merci. Je ne bois jamais : que ...
... m’a-t-il pris de commander un cocktail ? Comme si mes deux expériences des dernières 24 heures ne m’avaient pas suffi. - Je suis Jérémy et voici mes collègues Ludovic, Ludo quoi, et Romain ; dit-il en relevant sa mèche de cheveux d’un coup de tête et me souriant de toutes ses dents blanches Ultra-Brite. - Salut, salut… - Salut… - Et vous êtes là pour la nuit ? Pas grand-chose à se dire, il est évident que je suis là pour passer la nuit mais pas seule et que de ces trois-là, j’en ferai mon « quatre heures », surtout s’il s’agit d’un packaging de trois !!! Pour que la discussion ne s’éternise pas, tout en sirotant mon apéritif je décroise mes jambes en prenant soin de laisser ma micro jupe remonter un peu et j’écarte les cuisses juste un peu pour laisser entrevoir que je ne porte pas desous-vêtements. Les trois amis se sont resserrés autour de moi, le souffle coupé. Mon mont de vénus soigneusement épilé s’écarte et l’un d’eux a déjà pris l’initiative de passer sa main dans la fente. Il sait déjà que je suis trempée et me triture le bourgeon tout en murmurant à l’oreille de ses potes. - Nous serions peut-être plus à l’aise dans votre chambre pour discuter de tout cela, Elina ? Qu’en pensez-vous ? Déjà bien « émue » à cause du cocktail et de la main qui me doigte l’entrée humide de ma cramouille, je murmure le numéro de ma chambre. Juste avant que ne je me lève, les trois potes se sont fait des signes de la tête, Ludo parle au barman et quelques instants plus tard, il a deux bouteilles ...