Un long soir d'hiver ! (1)
Datte: 17/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... et il ne peut que regarder. Il donnerait bien la moitié de ce qu’il possède pour pouvoir mettre une de ses mains sur sa verge à lui, juste pour calmer cette incroyable tension qui s’est totalement concentré dans sa bite. Le plaisir de Louise ! Quelle beauté, il n’aurait jamais cru qu’elle soit si belle, quand elle jouit. Son visage respire la sérénité et la plénitude d’un bonheur parfait quand il la regarde ainsi bousculée par cet inconnu. Elle est haletante, le pieu dans bouche l’étouffe un peu. Louise ne s’appartient plus, jusqu’au bout elle tente de garder la tête sur les épaules, mais là c’est trop. Elle part dans mille éclats de plaisir, celui-ci explose comme un ciel de nuit en été, un soir de Quatorze Juillet. Les lèvres écartelées, elle laisse le va-et-vient se faire sans essayer de lécher la queue qui vit sa vie au fond de sa bouche. Francis serre les dents, maintenant il a mal au bas du ventre. La jouissance trop longtemps contenue lui donne des crampes dans les couilles. Et son épouse, à deux pas, qui jouit désormais à grands cris, sa bouche limée frénétiquement ; comme elle a l’air salope, comme elle doit prendre son pied. Il continue à regarder comme halluciné et plus il voit, plus il a envie de voir, plus son sexe reste tendu. Une vraie crise de priapisme, maintenant il en connaît outre la définition, aussi les caractéristiques et les affres douloureuses. Il voit l’inconnu qui sort son sexe luisant de la salive de Louise et qui la fait se mettre à quatre pattes ...
... devant lui, mais toujours sur le sofa. La bite quitte la bouche de Louise qui respire un grand coup, aspirant l’air qui commençait à lui faire défaut. L’inconnu l’a fait s’agenouiller devant lui sur le canapé. Elle le fait dans un état second, un peu à l’aveuglette, elle manque de tomber sur la moquette, mais l’homme la retient. Voilà ! Elle est dans la position désirée. Ce n’est pas long, la queue vient de fendre le sexe pour entrer. Elle sent la pénétration se faire tout entière, distendant les parois de son minou et allant buter tout au fonds de son vagin. La bite ressort presque entièrement pour entrer de nouveau, puis le manège recommence. La maintenant, seul le gland est introduit entre les lèvres et l’inconnu le fait aller et venir sans le pousser plus avant. La main de l’homme est aussi passée devant elle et s’est placée sur la chatte, écartant les lèvres. Le clitoris est caressé en même temps que le sexe est pénétré. Louise qui adore cette façon de faire l’amour avec son mari, sait, comprend aussi qu’avec l’inconnu ce sera aussi le pied. Elle repart en transe, sa tête se rejette en arrière, elle gémit sans discontinuer. L’homme la cramponne par la main sur son clitoris et son épée de chair la transperce de plus en plus vite. Elle hurle, elle gueule de plaisir. Sa jouissance l’emporte vers d’autres étoiles, elle ne sait plus ce qu’elle fait et l’homme continue de la pistonner alors qu’elle se tord de plaisir. Combien de temps durent ses spasmes amoureux ? Elle ne sait ...