1. Un long soir d'hiver ! (1)


    Datte: 17/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bénéficiant de sa chaleur et les tasses se vident du breuvage noir, avec une bonne musique en toile de fond. Francis serre le corps de sa compagne et bien sûr la température monte un peu. Il a les mains baladeuses, elles partent en expédition sur ce petit bout de femme qui se love un peu plus contre lui. Elle laisse faire, sachant bien qu’ils s’engagent sur un chemin qui va les porter vers les étoiles, elle aime faire l’amour ainsi. Au fil des minutes, de baisers en caresses, ils sont totalement nus, ivres d’envie, ivres de tendresse. Francis parcourt du bout des lèvres, des endroits cachés, des recoins invisibles habituellement. De la pointe de ses seins à la fourche de ses cuisses, il passe et repasse, l’entourant de sa plus profonde affection. Il connaît les endroits très privés qui lui procure les sensations troubles du plaisir, qui lui arrache des soupirs de bien-être et il les visite avec délectation. Elle sent à de petits signes qu’il la désire. En premier lieu, il a une érection tellement visible que la cacher serait mission impossible. Ensuite, il y a aussi ses yeux chargés d’amour qui la regardent de temps en temps quand la nuque rejetée en arrière, elle gémit doucement sous les caresses précises de sa langue entreprenante. Elle laisse ses mains filer sur le dos de son mari. Lui part à l’aventure entre ses cuisses souples, les écartant sans rudesse, cherchant du bout de la langue le petit point dur du clitoris. Étendu sur elle, sa verge se trouve à la hauteur de la ...
    ... bouche féminine et bien sûr elle ne résiste pas à l’envie de l’entrouvrir, pendant qu’il vient de trouver la cible qu’il espérait. De deux doigts il décapuchonne le petit pic rouge et la caresse buccale se fait plus précise. Elle tressaute sous l’effet électrique du passage de la langue et enfonce davantage dans sa bouche la tige de chair tellement gonflée que ses mâchoires en sont distendues. Dans la pièce, leur musique amoureuse couvre celle plus impersonnelle du slow qui les accompagne. Ils s’aiment, merveilleux ballet de mains, de jambes, de corps qui évoluent au fil de leurs envies. Juste une lumière tamisée pour faire onduler sur les murs parcimonieusement illuminés, les ombres mouvantes de leur communion charnelle. Dans la douceur de cette soirée, le téléphone claque dans la nuit, son criant qui surprend les deux amants. Louise lève le regard vers la lucarne allumée de l’appareil qui lui vole son plaisir, incrédule d’entendre cet objet si dérangeant en pareil instant. Francis d’instinct saisi le combiné et : — Allo ! À l’autre bout, une voix masculine douce lui dit : — Bonjour, je vous dérange peut-être ? Francis ne sait quoi répondre à l’intrus. La voix continue, suave, mais péremptoire. — Mets le haut-parleur ! Francis ne réagit pas, c’est curieux comme atmosphère. Sans trop savoir pourquoi, il enfonce la touche et la voix envahit la pièce. — Tu es avec ton adorable femme ? Louise et Francis se regardent, un peu surpris qu’un étranger s’invite ainsi au cœur de leur ...
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