1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass,

    ... années, l’âme en peine, le cœur déchiré. Ce cœur aveuglé bondissait à chaque fois que je croisais une rousse, mourant d’envie de tomber sur Carole « par hasard », poussant le vice jusqu’à me rendre près de chez elle. J’étais devenu une épave. Bien sûr, cela n’arriva jamais. J’appris bien plus tard qu’elle n’habitait plus par ici. Quel con ! Peu à peu, je me suis relevé et j’ai repris goût à la vie. Et si j’ai fait une croix sur elle, il y a toujours une partie de moi, quelque part, qui palpite à l’évocation de son nom. C’est même devenu une obsession. Je ne regarde plus les femmes comme avant. Ou plutôt je ne regarde plus les rousses comme avant. Un peu comme si chaque rousse avait en elle une partie de Carole. +++OOO+++ Dans mon travail, j’étais souvent amené à me déplacer de bureau en bureau. Je travaillais en tant qu’administrateur réseau et, occasionnellement, j’aidais le service technique à dépanner les ordinateurs de la société. La plupart du temps, il n’y avait rien de grave, juste des personnes dépassées par la technique. C’est donc tout à fait naturellement que je fus présenté à Isabelle, magnifique rousse avec des cheveux d’une longueur à n’en plus finir. Notre première rencontre fut étrange. Elle était intimidée, j’étais subjugué par cette beauté cachée derrière cette immense crinière qui semblait vouloir agripper mes mains pour les attirer vers elle et dans laquelle je rêvais déjà de noyer mon visage. Nous nous serrâmes la main, mollement, mais à l’intérieur, ...
    ... mon cœur palpitait pour cette jolie fille emmitouflée dans un nombre incroyable de couches de vêtements. Elle semblait vouloir cacher ses formes. Je ne suis pas curieux de nature. Mais rien de tel pour attiser la curiosité que de montrer que l’on cache quelque chose. Je cherchai, depuis ce moment, à en voir plus. Au fil des rencontres, nous discutions de choses et d’autres, de sujets tout à fait innocents et nous appréciions ces moments d’échanges. Et malgré mon trouble, je restais imperturbable. J’étais présent dans son bureau plus souvent qu’à l’accoutumée. Il m’arrivait d’apercevoir parfois la vision enchanteresse de son string qui dépassait de son pantalon taille basse, lorsqu’elle se penchait vers son écran. Autant dire tout de suite que je ne cherchais pas à la perturber dans son travail, et je prenais le temps de signaler ma présence en me délectant de ce spectacle. Nous prîmes plaisir à nous retrouver chaque matin à la machine à café, où nos discussions devenues passionnées et passionnantes pouvaient nous faire perdre la notion du temps au grand dam de son chef de service. Nous avions pris l’habitude de déjeuner ensemble, ce qui amena inévitablement des rumeurs les plus salaces à notre encontre. Cela la faisait rire, moi beaucoup moins, n’aimant pas attirer les regards sur moi. Nos discussions devinrent plus enflammées pour franchir une limite que toute personne bien intentionnée devraient se garder de franchir. Nous étions devenus d’inséparables amis, nous étions nos ...
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