Je ne vous l'ai jamais dit ?
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
rousseurs,
Collègues / Travail
fépilée,
vacances,
hotel,
amour,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
amourpass,
... confidents mutuels. Je lui parlais de Carole, elle me parlait de son mari. Je lui parlais de mon amour brisé, de mon sentiment d’abandon, du besoin irrépressible d’affection, elle me disait combien elle était amoureuse de son mari et que malgré cela, il restait avare en câlins. Tout ce que nous pouvions nous dire nous rapprochait un peu plus. Nous n’arrêtions plus de faire des allusions du genre « je suis sûr que j’ai besoin de plus d’affection que toi » ou « tu me jetterais aussi vite que mon mari si tu me prenais dans tes bras ». Bref, nous étions sur la corde raide. Au cours d’une promenade suivant un déjeuner à l’extérieur, nous nous assîmes sur un banc, l’un contre l’autre, je tremblais de désir, je voulais la serrer contre moi. Par défi, je lui certifiai que si je la prenais dans mes bras maintenant, je pourrais lui prouver que je ne la repousserais pas si vite qu’elle ne le pensait. « Chiche » me dit-elle. D’un bras hésitant, je lui entourai les épaules et l’attirai encore plus près de moi. Je sentis pour la première fois son corps qu’elle cachait si bien. Je la sentis frémir. Elle passa son bras sous le mien, et me tint par la hanche. Et nous restâmes ainsi sans bouger. Pendant de longues minutes. Jamais dans toute ma vie je n’éprouvai autant de plaisir à rester contre une femme. Ces instants d’affections furent d’une force inimaginable. Sans aucun geste équivoque ni tentative déplacée pouvant faire monter la température, nous nous serrâmes l’un contre l’autre, joue ...
... contre joue, corps contre corps, cuisse contre cuisse. Nous étions soudés. De mon sexe bandé s’écoulait un liquide humidifiant mes vêtements au point d’en être trempés. J’appris plus tard que sa culotte était « foutue ». Mais, il fallut revenir à la réalité : nous étions déjà très en retard. Nous dûmes rester dans une situation d’inconfort tout cet après-midi, malgré plusieurs passages aux toilettes pour essayer d’y remédier. Mon pantalon clair laissa entrevoir une humidité mal placée et je dus lutter toute cette fin de journée pour retarder le plus possible mes déplacements dans les différents bureaux. Depuis ce moment, nous voir lors des pauses-café ou déjeuners ne nous suffit plus. Nous nous échangeâmes des messages enflammés. Nous fantasmions sur ce que nous ferions ensemble si jamais nous avions l’occasion de nous retrouver dans un lit. Mais aucun de nous ne franchit la ligne. Mon affection la rendait heureuse tout autant que la sienne me bouleversait. Après plusieurs semaines où nous cherchions la moindre occasion pour nous enlacer, cela ne suffit plus. Et pour la première fois au détour d’un bosquet lors d’une promenade devenue journalière, nous nous embrassâmes. Nous avions fait en sorte de nous dissimuler derrière quelques branchages pour rester à l’abri des regards et la situation faillit nous échapper. Pendant que je glissais mes mains dans son pantalon pour lui caresser ses fesses sublimes tout en me glissant sous les élastiques de son string, elle me déboutonna la ...