1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass,

    ... chemise, y glissa ses mains, titilla mes tétons avant de se pencher pour les mordiller. Puis elle déboutonna son pantalon et me prit une main pour la diriger vers son sexe brûlant. Elle était tellement trempée que je pus y introduire un doigt sans aucune résistance. Toutefois, l’inconfort de la position m’empêcha d’aller plus loin, donc je continuai d’alterner entre les caresses sur son clitoris et les introductions quand sa main ouvrit ma braguette et commença à me branler. Je ne sais plus combien de temps nous sommes restés à nous masturber mutuellement. Mais, la magie du moment fut interrompue brusquement lorsque nous entendîmes des halètements provenant du bosquet voisin. Nous nous sommes rhabillés sans un mot et nous sommes partis sans oublier de jeter un regard vers un homme qui se masturbait en nous espionnant. Nous nous amusâmes longtemps de cette situation. Dommage que nous ne puissions pas la partager sans nous compromettre. Nous avions alors convenu de nous retrouver le soir. Je pris soin de réserver une chambre dans un hôtel suffisamment éloigné de notre lieu de travail. J’y partis le premier. J’attendis de longues minutes qui me parurent durer des heures. Quand enfin elle arriva, ce n’était plus cette Isabelle qui m’avait embrassée fougueusement il y a quelques heures. Elle semblait tendue. Je tentai de la rassurer. Je sentis par mes caresses que ses muscles étaient contractés. Je dus faire preuve de toute ma délicatesse pour qu’elle se relâche un peu. Je ...
    ... commençai par l’embrasser dans le cou pendant que je passais ma main dans son immense chevelure rousse. Je lui massai légèrement son cuir chevelu pendant que mes baisers se déposaient dans le creux de son cou, derrière ses oreilles, à la commissure de ses lèvres. Elle se détendit complètement. Nos lèvres se joignirent, nos langues se mêlèrent, se repoussant tour à tour dans nos bouches respectives. Nous perdîmes la notion du temps. Les minutes défilèrent. Nous nous retrouvâmes nus comme au premier jour, enlacés, nos mains ne cessant d’explorer nos corps si ardemment désirés. Mes baisers s’attardèrent sur ses petits seins que je voyais pour la première fois. Elle n’avait pas une grosse poitrine mais elle était en harmonie avec le reste de son corps. Ce corps irradiant de chaleur et qui, par sa proximité, me comblait. Isabelle se mit à califourchon sur moi et pendant que je tentais de reprendre mon souffle à travers sa masse de cheveux, je la sentis frotter son sexe contre le mien, ses grandes lèvres épousaient la forme ma verge et ce va-et-vient incessant menaçait de me rendre fou. Je voulais la posséder. Je me relevai difficilement en posant mes mains sur ses hanches, je lui dis dans le creux de l’oreille qu’il fallait que je prenne un préservatif dans mon portefeuille, mais elle m’arrêta, me dit presque en s’excusant qu’elle n’était pas prête ; qu’elle aimait toujours son mari et qu’elle ne pensait pas qu’elle pourrait franchir le pas. Quelle étrange sensation d’avoir la bite si ...
«12...789...17»