La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 614)
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°609) - Une sodomie hors norme - Poitrine posée sur le sol, avant-bras repliés devant la tête, celle-ci plaquée au sol sur le côté, reins cambrés et cuisses largement écartées, soumis Endymion MDE offrait son trou, telle une salope, une vraie salope affamée en chaleur. Il voulait de la queue, il voulait se faire enculer, peu importe par qui, mais il lui fallait une bite dans le cul, une bonne grosse tige bien dure pour se faire empaler, profondément empaler ! Et il allait être exhaussé, mais pas à n’importe quel prix… Celui désigné n’était autre qu’Erwan, le soumis stagiaire noir richement doté par la nature. Jamais soumis Endymion MDE n’avait vu un engin pareil pendre d’entre des cuisses. Sa queue était hors norme, au repos, flasque, elle lui arrivait presque à mi-cuisses, à tel point qu’il portait une cage de chasteté sur mesure, et lorsqu’il bandait, la taille de sa bite était presque de la longueur d’un avant-bras. Lui aussi était affamé, ses couilles n’avaient pas été purgées depuis longtemps et de voir une salope en chaleur tordre du cul ainsi devant lui, l’excitait terriblement. S’il n’avait pas été solidement tenu par les couilles avec une corde les lui enserrant, il aurait sauté sur soumis Endymion MDE et l’aurait enfilé d’un trait. Bref, c’était un bel étalon en rut. Mais, ce n’était pas sans compter sur la perversité de Maître CharlEd ! Il le maintenait fermement et tirait avec force sur la grosse corde pour le ...
... contenir. A chaque soubresaut, le chien mâle soumis Erwan poussait un râle en reculant d’un pas puis repartait de plus belle à l’assaut de ce trou offert et prêt à être sailli. - Du calme le chien, tu vas la sauter cette petite chienne, mais avant ça, flaire-lui bien son petit trou de lope ! ordonnait Maître CharlEd. soumis Endymion MDE tremblait de tout son corps, Il avait froid. Il grelottait même, claquait des dents, bavait en tirant la langue. Impossible pour lui de contenir et contrôler son corps, son épiderme frissonnait, pourtant en lui, une irrépressible chaleur lui envahissait les entrailles, telle une fournaise ! Comme anesthésié et pourtant conscient de ce qu’il ressentait au plus profond de chacune de ses fibres corporelles, cette chaleur l’irradiait et l’enfiévrait complétement. Il n’était plus lui… Tout lui semblait étrange, comme s’il était spectateur de sa propre vie, comme si le monde réel perdait à ses yeux sa cohérence intrinsèque, plus rien ne lui paraissait naturel ! Il n’avait plus le sentiment d’être l’investigateur de son propre fonctionnement, mais d’être simplement l’observation d’un fonctionnement automatique qui ne nécessitait plus son intervention. Il en était arrivé au point où il se considérait comme un simple objet, telle une machine sexuelle perfectionnée projetée dans cet univers de dépravation sordide, sans pour autant en avoir le contrôle. Cette crème aphrodisiaque que Maître CharlEd lui avait introduit dans le cul le rendait comme fou, fou ...