La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 614)
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sagement la sentence en se plaçant les mains entre son dos et le carrelage, en signe de profond respect. - Tu n’avais ni l’autorisation de jouir ni encore moins de porter tes mains sur ta nouille de chien. Tu le sais ça, sale cabot en rut ! Reprit Maitre CharlEd Le Maître appuya plus fortement encore son pied sur la tête de soumis Erwan, lui déformant le visage en l’écrasant sur le sol. La sentence tomba ! - Celui que tu viens d’enculer, va te vider les couilles jusqu’à ce que plus une goutte ne sorte de ton sac à foutre. Tu vas voir que la masturbation forcée est un bien beau supplice ! Maitre CharlEd fit redresser soumis Erwan, lui attacha les mains dans le dos, et lia un poids d’un kilo à ses couilles. Il lui ordonna de rester debout, cuisses écartées, parfaitement immobile. Pour ajouter un peu de piment à l’affaire, le Maître agrippa à ses tétons deux pinces mordantes qui lui arrachèrent un long soupir. Pendant ce temps, le chien soumis Endymion MDE était attrapé par son collier et tiré à quatre pattes, près du foutre déposé sur le carrelage, ...
... par son congénère. - Lape et avale ces cochonneries chienne ! lui ordonna Maîtresse Marina. Dès lors que ces souillures furent totalement ingurgitées, Maîtresse Marina repris soumis Endymion MDE par son collier et le fit avancer à genoux, jusqu’à ce qu’il se retrouve face à cette bite monstrueuse, semi érigée, d’Erwan. - Branle-le salope, tu peux aussi le pomper, je veux qu’il jouisse ! ordonna Maître CharlEd. Alors soumis Endymion MDE s’employa, ses lèvres se posèrent sur ce gland énorme et encore gluant, puis il tenta d’avaler cette bite. Elle reprit de suite un volume extraordinaire, si bien que l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans s’interrogea : comment avait-il pu prendre un tel morceau dans le cul ? Mais son questionnement en resta là, très vite il se fit vilipender ; au gout de Maitresse Ella, la fellation n’était pas suffisamment ardente, elle lui assena deux ou trois coups de cravache appuyés sur ses épaules et lui ordonnant : - Pompe mieux que ça, chienne, toi qui aime les bites, montre-nous ce que ta bouche s’est faire ! … (A suivre …)