1. L'anniversaire de Samuel


    Datte: 01/03/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, fbi, hbi, jeunes, couleurs, asie, inconnu, copains, grossexe, grosseins, fête, anniversai, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Transexuels intermast, Oral pénétratio, hdanus, hsodo,

    ... répondre, parce qu’elle me supplie du regard, mais elle le fait quand même : — Tu veux bien m’embrasser comme tu le fais à mon amour… s’te plaît, souffle-t-elle, un peu désespérée.— J’l’ai déjà fait jouir une fois, mais j’y arrive plus, me murmure Flo. Fais-lui le baiser de Luc… Pour moi, ma chérie… Aide-moi à la faire jouir encore… Tout en posant la bouteille au sol, je ne peux faire autrement que de me demander si elles ne se moquent pas de moi. Mais le désespoir de Kiko semble si sincère. Je m’approche des lèvres de la suppliciée lentement, mes yeux dans les siens, mais je m’interromps quand j’entends : — Attends, mon amour… Florence se laisse glisser au bas du canapé, ses mamelles ballottantes me mettant le feu aux neurones, elle écarte les cuisses de Kiko, puis sa culotte sur le côté, et enfin les lèvres sombres de son con, révélant le rose des muqueuses dégoulinantes. Elle me dit, la voix presque "partie", déjà : — Maintenant ! Je tente d’ignorer les larmes qui tracent sur les joues de Kiko, et commence les légères bises, d’abord. J’entends les mêmes, venant de plus bas. Puis viennent les "smacks" un peu plus appuyés. Flo reproduit presque à la seconde, et je poursuis : je lèche les lèvres, les entrouvre de ma langue. Je sens la sienne venir à leur contact que je leur refuse, dans un premier temps. Mais, je ne résiste pas à ses gémissements, ni à sa tête qui ondule, la cherchant fébrilement. Jouant avec son impatience, je caresse maintenant sa langue, échappe à son ...
    ... contact, alternativement. Elle pleurniche, alors je la lui offre. Plus bas, on ne peut plus distinguer les coups de langue des moments où Florence les interrompt. Tout le corps de notre "suppliciée" ondule, se cambre, soubresaute (?). Elle crie maintenant, et je tente d’amoindrir l’énormité de ces cris, pour qu’ils ne parviennent pas jusqu’à sa mère, qui va croire qu’on la tue ! Arrive le moment où je ne peux plus rien faire que de la laisser crier, parce que ses cris vrillent mes tympans, à l’intérieur de ma tête… elle va me rendre sourde ! Oh, elle ne pleurniche plus, maintenant… elle crie ! Qu’elle nous aime… que c’est trop bon… qu’on va la tuer… qu’il faut qu’on arrête ! Mais non… qu’on continue… qu’on la tue encore… encore ! Ensuite, on ne comprend plus rien. Ça ressemble à une langue étrangère, mais elle la crie toujours… enfin, je crois. Je ne parle pas japonais. Et sa mère qui ne débarque pas, pour sauver sa fille… c’est à n’y rien comprendre ! Les cris s’espacent, diminuent d’intensité. Tandis que Kiko semble "incrustée" dans l’assise du canapé, ma chérie m’offre ses lèvres fermées. Je comprends qu’elle veut partager, alors je prends sa bouche, y introduis ma langue. La saveur que j’y trouve me donne envie d’aller la goûter directement à la source. Je le murmure à l’oreille de ma chérie, qui m’abandonne de bonne grâce sa place. Tout de suite, je ne peux détacher mon regard de la blessure qui s’offre à lui. Les grandes lèvres sont boursouflées, suitantes d’une mouille ...
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