L'anniversaire de Samuel
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
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pénétratio,
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... plus qu’abondante, qui a coulé jusqu’entre les fesses… jusqu’à détremper le cuir du canapé. Avant de répondre à mon envie grandissante, je lui retire sa culotte… enfin, l’éponge qui lui sert de culotte ! En la tenant sous les genoux, j’écarte les jambes de la future bénéficiaire de mes attentions, puis les remonte jusqu’à m’ouvrir toute la fente sexuelle. Au moment où je m’apprête à répondre à mon envie, j’entends quelqu’un faire : " Hum hum…" Je remonte le cours du son et tombe sur les yeux de… Luc ! Le doigt sur la bouche, il me fait : — Chut… Me sourit, et m’encourage à continuer… … LUC : L’impression de tenir la chandelle, vous connaissez ? Alors, vous devez savoir que j’aimerais mieux être ailleurs… mais, je ne le peux pas. Déjà que les deux autres ont été "abandonnés" par la moitié de l’assemblée, bien qu’ils aient l’air de s’en ficher comme de l’an quarante… Je les compte, les secondes… les minutes, depuis que ma chérie est allée chercher la bouteille. À deux minutes, c’est déjà trop, et je dis au couple, les interrompant : — Je crois que notre "éclaireur" est tombé entre les mains de "l’ennemi" ! Traître, Samuel me répond : — Va voir ce qu’il en est… s’te plaît… Il m’a donné sa permission, alors si vous croyez que je vais me gêner. Je pressens quelque chose de "pas catholique", donc j’y vais d’une démarche de Sioux sur le sentier de la guerre. Quand j’arrive, j’entends une voix qui ressemble à celle de Florence dire : — Maintenant… Après avoir retiré mes ...
... chaussures, je m’approche de la source de la voix, et je vois Jennifer et sa chérie collées aux lèvres de la petite serveuse. Je parviens, je ne sais comment, à m’arracher du spectacle, ignorant mon érection instantanée, ainsi que ma furieuse envie d’aller participer, et retourne dare-dare vers la salle à manger. Là-bas, je dois à nouveau faire l’effort "d’oublier" ce que je vois. Stéviana est maintenant assise à califourchon sur les cuisses de Samuel. Celui-ci, la main gauche enfouie sous la robe de son amour, et la droite lui pétrissant le sein, "subit" le baiser qu’elle lui donne, les doigts crochetés dans ses cheveux. — Arrêtez-moi ça tout de suite ! Deux mines de gamins pris la main (!) dans le sac, répondent à mon ordre. — Y faut faire quèque chose… va y avoir un drame… Ils mettent trop de temps à réagir. — Samuel TOUT DE SUITE, me mets-je à crier. Puis j’enchaîne : — Débrouille-toi comme tu veux mais y faut renvoyer la cuisinière maint’nant… VITE ! Il réagit au quart de poil, et fonce à la cuisine, pendant que j’empêche Stéviana de tomber. — Madame Hasumato… on va pas dîner tout d’suite, finalement… et comme je peux pas vous retenir toute la nuit, vous pouvez rentrer chez vous…— Comment, répond celle-ci, vraiment surprise.— Oui oui… rentrez chez vous, je vous prie… Bien sûr, je vous payerai comme pour un banquet servi… Si si, j’insiste… Ne vous en faites pas, on réchauffera les plats…— Mais… vous ne saurez pas faire…— Si si… votre fille nous montrera… Elle a retrouvé une amie, ...