1. L'amour d'un père (5)


    Datte: 01/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... baise pourtant comme une trainée. Je lui donne des coups puissants en la pénétrant jusqu’au raz des couilles. Je sais à quel point elle aime ça de sentir que je me sers d’elle, que j’ai besoin d’elle pour me faire du bien. Elle a autant besoin de donner que de recevoir pour jouir. — Vas-y, papa. Ne te retiens pas. Éjacule pour moi. — Je veux te faire jouir d’abord, dis-je en guise de protestation. — J’ai déjà jouis une fois, c’est ton tour. Je veux que tu te vides dans mon vagin. — Oh, ma puce, j’en ai tellement envie. — Vas-y. J’obéis et la lime encore plus fougueusement. Je cherche à me faire jouir sans me soucier d’elle. Cela fait trois jours que je me retiens pour ce moment, cela devient insoutenable. J’ai désespérément besoin de ma délivrance. Elle m’enlace avec ses jambes autour de mon bassin et me presse contre elle. Elle m’invite à la prendre et à la remplir. — Je ne vais plus tarder à venir, ma chérie, dis-je. — Viens, papa ! Viens dans ta petite fille ! — Mon chaton... mon amour... — Mon pauvre papa chéri. Ça y est, je craque, je sens les prémices de mon éjaculation arriver. C’est tout bonnement divin. Je pousse un grognement et elle comprend ce qui est train de m’arriver. — Oui ! Oui ! m’encourage-t-elle. Vas-y ! Remplis-moi ! J’explose dans son vagin et lui envoie plusieurs giclées de sperme. — Oh oui, papa ! C’est bon ! Continue ! Fais-moi un enfant ! Je veux être enceinte de toi ! Aaaaah ! À ma grande surprise, je la sens jouir à nouveau. Mon orgasme ne s’est ...
    ... toujours pas arrêter. Je cherche à lui donner autant de foutre que possible comme si ça pouvait faire une différence. Mes coups de bassins ralentissent au fur et à mesure que je redescends sur terre. Je m’allonge auprès d’elle une fois terminé. Nous sommes tous les deux en train de reprendre notre souffle. — Papa ! Je suis si heureuse ! — Moi aussi, mon bébé. — Tu m’as bien remplie, commente-t-elle en jouant avec sa chatte. J’espère que cela va marcher. — On ne s’arrêtera pas d’essayer, fais-je confiant. Elle se pelotonne contre moi, quand sa sœur débarque quelques instants plus tard : —Angela ! s’exclame-t-elle scandalisée. — Bah quoi ? répond l’intéressée. Je ne comprends pas non plus sa réaction. — Je suis la plus grande et j’ai demandé en premier ! Ce n’est pas juste ! Il faut toujours que tu n’en fasses qu’à ta tête ! — Ne t’inquiète pas, ma puce, lui dis-je pour la rassurer. Je ne suis pas trop fatigué. Je peux remettre ça, suffit d’attendre quelques minutes. Ça a l’air de la calmer un peu. — Je vais vous laisser tout les deux, dit Angela en se levant. Ce moment n’appartient qu’à vous. Elle quitte ainsi la chambre en fermant la porte derrière elle. Je suis toujours allongé sur le lit, à moitié relevé en me soutenant par mes coudes. Nancy me fixe du regard, ou plutôt, elle fixe mon sexe ramolli d’un air troublée. — Tu es prête, ma chérie ? Tu veux toujours que je te fasse ton enfant ? — Plus que jamais, m’assure-t-elle. Elle s’approche de moi et prend ma queue dans une ...
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