1. L'amour d'un père (5)


    Datte: 01/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... main. Elle me branle un peu mais je reste mou. Elle entreprend alors de me sucer. Ma bite doit avoir le gout du jus de sa sœur et de mon sperme, mais cela n’a pas l’air de la déranger, au contraire. Après plusieurs minutes, je sens que ça commence à redevenir bon et je durcis partiellement. Cela l’excite et elle s’applique davantage pour s’assurer que je sois bien raide. Quand c’est le cas, elle ne perd pas une seconde : elle se déshabille complètement de la tête au pied et vient me chevaucher. Elle insère minutieusement mon sexe dans sa chatte déjà coulante puis s’empale dessus. — Aaah ! Oui ! soupire-t-elle. — Ça va, ma princesse ? — Oui, beaucoup mieux. Elle commence son va-et-vient et je la maintiens par les hanches. Ses seins remuent au rythme de ses mouvements. Ils me donnent faim d’elle. Elle a un corps magnifique. J’en suis si fier. C’est moi qui l’ai faite avec sa mère ; et bientôt, elle sera mère à son tour. — Oooh, papa. Tu n’imagines pas combien c’est bon de baiser après une dure journée de boulot. — Ma pauvre chérie. Je le sais bien au contraire. J’étais si heureux d’avoir deux anges pour m’accueillir quand je rentrais. Vous preniez si bien soin de moi. Je me relève pour l’embrasser et je l’enlace contre moi. Nous baisons assis. Je lui donne des coups de bassins comme je peux pour mieux sentir l’intérieur de sa chatte. Nos bouches ne décollent pas l’une de l’autre et nos regards ne se quittent pas. Ce moment est si intense, comme deux amoureux. Elle ondule ...
    ... pour se donner du plaisir, les sensations que cela me procure sont incroyables. Je lâche ses lèvres pour son cou. Je lui fais un véritable suçon, avant de descendre vers ses seins. J’attrape ses tétons en bouche et les aspire comme un bébé. Je les mordille, je sais qu’elle aime ça. Elle gémit en me pressant contre elle. Je passe de l’un à l’autre, puis enfonce ma tête entre les deux en reprisant bruyamment pour humer son odeur. Elle sent l’amour. Elle me plaque brusquement contre le lit et augmente le rythme en posant ses mains sur mes épaules. Elle se déchaine sur ma queue comme une furie. J’ai envie de me nourrir de ses deux pointes qui me narguent, mais elle contrecarre mes tentatives en me maintenant fermement. Les traits de son visage sont tordus par le plaisir. C’est si bon de voir sa propre fille vouloir autant votre bite au fond d’elle. Elle est si femme, je suis si fier de ce qu’elle est devenue. Ma petite fille a tellement grandi. Elle se penche vers moi pour m’embrasser. Nos langues s’entremêlent. Je l’enlace contre mon torse et la couvre de caresses. J’en profite pour lui donner des coups de reins qui la font frémir. C’est dur d’être passif, j’ai envie de la prendre sauvagement mais elle a totalement le contrôle. Comme si elle cherchait à me frustrer, elle se relève pour s’échapper de mon étreinte. Pire, elle se retourne pour me chevaucher de dos. Je ne peux plus la voir comme je le voudrais. Elle se positionne de façon à pouvoir le mieux s’empaler sur ma queue, et ...
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