1. Tu l'as cherché 12


    Datte: 01/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... persuadé que j’accepterais la proposition présentée par son père. Je m’absenterai une bonne semaine. Soit . Mais ce soir je me montre intraitable. Il ne peut pas être question pour lui de ne pas me démontrer son amour à la veille de cette première grande séparation. Aucun prétexte ne le mettra à l’abri de la vengeance que je vais commencer à exercer sur le champ. Je l’entreprends hardiment dès la fin de sa journée de travail. Je fais valoir combien il va me manquer. Nos rapports sexuels si fréquents et si intenses vont brutalement cesser. J’y fais nettement allusion, je le pousse à reconnaître que je vais gravement lui manquer également. Ne pas exprimer cette crainte de la séparation physique trahirait ses arrière- pensées, ses plans d’adultère : il se fait tout doux, tendre, presque faux jeton : - Si je n’avais pas eu en vue tes intérêts, jamais je n’aurais vanté tes qualités. Soudain l’idée de cette séparation me désole. Je regrette de t’aimer et de t’apprécier autant puisque cela a pour conséquence de nous éloigner l’un de l’autre. En réalité le naturel reprend le dessus, Alain se console vite : - Heureusement, huit jours passent vite. A ton retour je serai un mari plus vaillant et je t’éblouirai par mes prouesses. Comme disent mes copains: « ptc mba « Quoi, tu ne connais pas ? Laisse tomber. Dormons. - Hé, ne crois pas que je vais attendre huit jours. Approche, enlève tout ça, je te veux ici, immédiatement, plus que nu, amoureux comme jamais. Tiens, vois voler ma culotte, ...
    ... embrasse mes seins déjà durcis. Allez, au lit. Quoi, ton oiseau fait le mort ? Pas de ça. Là, dans ma main, beau merle, je vais te ressusciter et tu as intérêt à siffler juste. C’est difficile, je n’ai pas ménagé son sexe au cours des nuits passées, toujours soucieuse de le combler, occupée aussi à le rendre inapte à toute relation adultère. Mais pour cette dernière fois avant le périple professionnel, à force de persévérance, à force de masturbation et de succions, j’obtiens une verge presque tumescente. Avec cette quéquette timide Alain ne gagnerait aucun concours, mais grâce à des contorsions savantes dont j’ai le secret, je finis par le sentir passer le vestibule de mon vagin, entrer, glisser en moi y patauger Je l’exhorte à me fêter dignement dans ces circonstances exceptionnelles. Il peine, s’agite sans vraiment m’émouvoir. Il souffle, il peine, il éjacule enfin péniblement : il a versé plus de sueur que de sperme. - Mon pauvre chéri, je me demande s’il est bien raisonnable de me séparer de toi alors que tu es si stressé. Ne vas-tu pas tomber malade ? J’ai des scrupules à t’abandonner dans cet état… - C’est que tu es par bonheur une amante sans égale. Va, je me soignerai Ah ! S’il n’y avait pas la menace de cette rouquine. Mais que lui apporte cette Martine ? Ni plus belle, ni plus jeune, tout à fait inutilisable dans mes fonctions : Serait-elle plus ardente ou aimante que moi ? Plus reposante que moi ? Surtout depuis que j’ai vu cette scène des baisers sur un trottoir ...