1. Tu l'as cherché 12


    Datte: 01/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... et que je me montre intransigeante. Ma stratégie d’épouse omniprésente, toujours en quête de baisers, de caresses, toujours prête à s’offrir, à réclamer des preuves d’amour, à étreindre mon mari, cette stratégie se retournerait-elle contre moi ? Alain se lasserait-il d’une vulve trop souvent visitée? Aspirerait-il à des rapports plus reposants ? Zut, il est trop tard : Ce n’est pas ce soir que je vais changer de plan. Je le suce jusqu’à plus soif. Le lendemain matin, quand mon mari se réveille péniblement, sa queue est déjà prisonnière de mes lèvres et je ne libérerai pas avant de lui avoir asséché les testicules. Quand je veux un résultat, je l’obtiens, Alain le constate avec force gémissements, il craque : -Lucie, je t’en supplie, je ne vais plus tenir debout. Oh! Ça vient …S’il te plaît, pitié. Arrête là, je suis fourbu. Je l’ai mis sur les genoux pour une durée minimale de quarante-huit heures . Encore mon mari volage ne pourra-t-il pas éviter de paraître impuissant ou de bien piètre compagnie pendant trois jours. S’il se risque à entraîner Martine dans un lit avant d’avoir récupéré et rechargé « ses batteries », il risque le ridicule et Martine déçue pourrait lui bâtir une réputation de bon à rien, fort préjudiciable. Par précaution j’ai demandé à Doris de surveiller ses faits et gestes et de me tenir au courant de sa conduite. Je peux compter sur son ressentiment pour obtenir des comptes-rendus fidèles et précis, le cas échéant. Une fille, à laquelle on a donné des ...
    ... espoirs et qu’on a bernée, dont on a usé sexuellement, en faisant miroiter une relation amoureuse durable et pourquoi pas la bague au doigt, cette fille qu’on a donc abusée, comme l’a fait Alain de Doris, si elle a de la mémoire, peut être rancunière. Je connais Doris. Elle en a gros sur le cœur, elle est rancunière. Au soir de la première journée avec Gérard, je croule sous les compliments. Curieusement mes interlocuteurs m’ont semblés aussi intéressés par ce que cachait ma jupe légèrement relevée ou par mon décolleté osé que par le bleu de mes yeux. Mon patron s’en est ouvertement félicité. J’ai eu une excellente influence sur les négociations. D’ailleurs Gérard lui-même a laissé errer des regards sur certains de mes atouts. Le presque sexagénaire se plaît en ma compagnie. Le bonhomme rêve-t-il, lui faudrait-il la fille après la mère. Le pauvre homme. Après un bisou « paternel« appuyé, je peux regagner ma chambre d’hôtel. Un s.m.s. de Doris m’annonce « r.a.s. ». Je vais dormir tranquille. Sauf que, ce soir, personne ne va me donner de plaisir. Ce soir, je ne recevrai même pas quelques gouttes de sperme parcimonieusement répandues. Je suis seule au lit, Alain n’est pas là, Alain ne tente pas de prolonger des préliminaires pour écourter la durée de l’accouplement. Et ça me manque, Alain me manque, j’ai tellement pris l’habitude de relations quotidiennes que mon vagin souffre d’être délaissé, de se sentir vide, inutile. Vivement la fin de la semaine. Je serre mon poing fermé entre ...