N'épousez pas une pute (3)
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... saisit la tête de sa femme et plaqua son sexe sur la bouche qui s’ouvrit mécaniquement. Côté à côte, nous tapant sur les épaules, nous serrant la main, nous nous congratulâmes de cette félicité. Les deux femmes suçaient, la mienne frénétiquement comme à son habitude et l’autre plus timidement. Sylvia libéra ma queue : "Allez on change." Et, joignant le geste à la parole, elle écarta Lætitia et goba le sexe de Thierry dans une gorge profonde dont elle a le secret. Le zob disparut entièrement; il ne resta plus que les poils sombres dépassant à attester de l’existence d’un sexe sur ce bas-ventre où tétait avidement une bouche gourmande. Laetitia avait la bouche étroite et avalait mon gland avec peine. Je sentais parfois le contact des dents et je dus commencer à la guider pour apprendre à faire une bonne pipe. Sylvia lui montra comment jouer avec la main, le bout de la langue, les lèvres, sur tout le relief de la pine. Elle progressait rapidement et mon excitation montait. Pendant qu’elle s’entrainait à mieux me sucer, Sylvia s’était relevée, s’était retournée et, écartant les jambes, avait offert sa chatte toute humide à l’athlète qui maintenant la pilonnait par derrière. A mon tour je décidai de bourrer le trou de ma partenaire. J’y allais sans ménagement. Je relevai la fille, la basculai sur le lit, lui écartai les cuisses pour introduire mon sexe immédiatement. Comme sa bouche, sa chatte était étroite. On aurait dit une pucelle. Elle lâcha un cri quand les parois ...
... s’écartèrent pour laisser la place à mon énorme nœud gonflé à bloc. Bien qu’elle fût déjà toute humide, la pénétration ne se fit pas sans mal. Mais, une fois que j’eus coulissé un petit peu jusqu’au fond, je la sentis se détendre et elle commença à gémir et à parler un peu, alors qu’elle s’était tue jusque là. Encouragé par la voix de sa femme, Thierry se mit lui aussi à exprimer ses impressions. Sa satisfaction était sans bornes. Il se régalait et le faisait savoir. Il vinrent s’allonger à côté de nous et il interrogea sa femme : "Alors ma chérie, tu aimes ? Elle est agréable la grosse bite du monsieur ? Elle est plus grosse que la mienne hein? Tu kiffes une bonne grosse queue comme ça hein ?". Pour toute réponse, elle ne sut dire que "oui" tout en plantant ses ongles dans mes fesses. Thierry me dit : "Vas-y, éclate-lui la chatte à fond!" Je ne me fis pas prier pour troncher comme il fallait ce minou étroit qui enserrait ma bite comme dans un étau. Il y avait longtemps que je n’avais senti une telle sensation, ma femme étant habituée à de plus gros calibres et à des doubles qui lui avaient dilaté le vagin comme un vrai hangar à bites qu’il était. Je la mis en levrette et attrapai ses petits seins très durs et très doux. Sylvia intervint : "C’est le temps de lui faire une double les gars. Qui dans la chatte, qui dans le fion ?" Il y eut objection. Elle n’avait jamais fait cela et elle n’était pas prête. Son mari, lui, l’était. Les femmes s’éloignèrent donc dans la salle de bain le temps ...