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N'épousez pas une pute (3)
Datte: 02/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... toutes les deux en levrette et les sodomisai alternativement. Lætitia fut priée de bouffer les testicules de son mâle mais il ne put se remettre au garde à vous. Enfin je m’allongeai sur le dos et elles vinrent tour à tour s’empaler sur mon vit, le faisant dans tous les trous, ou elles me présentèrent leur chatte à dévorer. Sylvia me fit une branlette espagnole mais les nibards de Lætitia étaient trop petits pour qu’elle pût en faire autant. Elles me léchèrent la lance et me sucèrent avec ardeur jusqu’à ce que j’éjacule à nouveau. Le séjour se poursuivit dans la même ambiance. Le personnel masculin de l’hôtel était aux petits soins pour nous. Certains clients s’enhardirent à draguer ouvertement ma femme devant moi. Un jour que nous étions tout les deux dans l’ascenseur, un jeune mec lui mit carrément la main entre les jambes. Je m’interposai vivement. Il me répondit que comme elle baisait tout le monde, il avait bien le droit d’en profiter aussi. Je le remis à sa place et il n’y revint plus. Une nuit, Thierry vint nous rejoindre sans prévenir. Désireux de dormir, je pris son passe et allai m’allonger dans son lit à côté ...
... de sa femme et je m’y endormis. Je me réveillai alors que Lætitia me faisait une fellation. Elle m’avait trouvé là à son réveil et en avait déduit la situation avant d’en profiter à son tour. Je la pris ensuite en missionnaire, doucement profitant du calme qui tranchait avec le déferlement d’ardeur de ma femme quand elle faisait l’amour. Je profitai du con étroit enserrant bien mon gros membre dont chaque coup, bien à fond, déclenchait un petit cri. J’aimais bien cette petite femme qui se livrait normalement, comme si c’était à chaque fois son dépucelage, qui ne prenait aucune initiative mais s’abandonnait complètement aux désirs de mon chibre. Cela me reposait de mon insatiable épouse. J’aimais comme celle-là s’agrippait à mes fesses quand je la bourrai, comment elle repliait ses jambes autour de moi en s’accrochant à mon cou, j’aimais ses orgasmes plaintifs. Je me demandais comment elle allait désormais se contenter du sexe plus modeste de son homme mais je me disais que ma femme lui en apprendrait assez pour qu’il compense par les gestes appropriés. Néanmoins, le séjour prit fin. Nous rentrâmes en métropole. A suivre