1. L'entrainement d'un flic (1)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: Gay

    ... lui versai un whisky, qu’il avala d’un trait. Je rangeai la bouteille. Je le voulais échauffé par l’alcool, mais pas ivre. Il se retourna pour se déshabiller, et, quand il enleva son slip, je sus que la nuit serait chaude. Deux fesses bien rebondies, et une raie du cul profonde. J’éteignis la lumière. « Je suis très content que tu sois là. Dès que je t’ai vu, j’ai bandé pour ton cul. Et maintenant, tu es là, et je vais pouvoir en profiter. Je vais bien me vider les couilles » « Tu sais, il y a longtemps que je ne me suis pas fait baiser. Fais-le en douceur » Et il se mit sur le lit, à plat ventre, la tête dans l’oreiller. Je lui caressai doucement le dos, et l’embrassai dans le cou. Je le sentis se détendre. Je saisis du lubrifiant et glissai un doigt vers son anus. Je le travaillai, jusqu’à pouvoir faire aller et venir deux doigts. Il était un peu serré, par manque d’expérience, mais semblait accepter avec plaisir. Je guidai ma bite vers sa rondelle, et appuyai doucement. Je le sentis s’ouvrir. Je continuai doucement mon chemin, et sentit mes couilles contre son cul. Il se l’était laissé mettre bien à fond. Je commençai à le baiser, doucement, puis à un rythme plus soutenu. Je l’entendis bientôt gémir, comme une pute en chaleur. J’appréciai beaucoup son fourreau bien serré. Je sentis que je n’allai pas tarder à jouir, mais je voulais qu’il me sente bien. Je le saisi par les hanches et lui bourrai le cul bien à fond. Il grognait plus qu’il ne gémissait. J’éjaculai et me ...
    ... retirai. « T’es un bon petit vicieux. Tu l’as prise dans le cul comme un grand » lui dis-je en lui claquant les fesses. Il se retourna, la bite dressée. Il n’avait pas joui. Je le sentais à nouveau nerveux. Je lui tendis la bouteille de whisky. « Calmes toi, on n’a rien fait d’extraordinaire. On a juste baisé, entre mecs. Je voulais te la mettre au cul, et toi, tu souhaitais la prendre. Tu as ce dont j’ai envie, et j’ai ce que tu souhaitais. Rien que de très naturel. On s’est donné du plaisir, c’est tout. » « J’ai fini mon service à cette heure. Mais ma voiture de police est toujours garée au jardin public. Il faut que j’aille la récupérer » « Et si je t’accompagnais ? Tu pourrais amener ta voiture ici, et on pourrait à nouveau passer un moment ensemble » Il hésita un instant, puis donna son accord, et nous fûmes vite de retour. Il s’installa sur le dos sur le lit, cuisses écartées, jambes repliées. Sous ses couilles, j’apercevais le début de la raie de son cul. Voyant que je le matais là, il remonta ses couilles avec une main, pour mieux s’exposer. Je m’allongeai à côté de lui et plaçai ma main à son entrejambe. Mon doigt partit à la recherche de son trou, et entra facilement, après la récente baise. Je me penchai vers lui et l’embrassai à pleine bouche. Il m’attrapa par le cou, et fit durer le baiser, tout le temps que je le doigtais. Je me positionnai entre ses jambes, les posais sur mes épaules et tirai ses hanches vers moi. Je le pénétrai très facilement, bien à fond. Il ...