L'entrainement d'un flic (1) - Histoires de Sexe

L'entrainement d'un flic (1)

... avait fermé les yeux, bouche ouverte, détendu, savourant son plaisir. Je me mis à le baiser plus fermement, et il saisit sa bite pour se branler. J’accélérai encore la cadence. Il haletait, se branlant frénétiquement. Nous éjaculâmes presque en même temps. Le lendemain matin, je lui demandai s’il comptait revenir ce soir. Il me répondit que ça faisait un bon moment qu’il n’avait pas été enculé, et qu’il sentait son trou du cul irrité. Il me promit de revenir dans quelques jours. Le soir, je revins au jardin public, sur mon banc préféré. Je repérai un blondinet, petit et menu qui me tournait autour. « Il fait chaud, non ? » « Oui, je suis venu chercher un peu de fraicheur » « Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? » « Etudiant à l’Université » Ouf ! Il était donc majeur, et je pouvais le draguer sans craintes. Je lui proposai de faire un tour, et le dirigeai vers les toilettes publiques. Quand j’y entrai pour pisser, comme je l’espérai, il me suivit. Il s’installa à côté de moi, et sortit sa queue. Je la caressai doucement. Je lui demandai à l’oreille s’il voulait venir avec moi dans une cabine. Il accepta. Là je lui demandai si c’était sa première fois. En rougissant, il m’avoua que oui. Je lui dis de ne rien craindre, qu’il n’était pas le premier que je dépucelais, et que tout allait bien se passer. Je le fis s’agenouiller devant moi, et lui demandai d’ouvrir sa bouche. J’y plaçai ma queue. Il avait ouvert sa braguette et se branlait. Me penchant au-dessus de lui, je glissai ma ...

... main dans son dos, puis dans son jean. Un de mes doigts trouva sa rondelle. Bien serrée ! Je le relevai « Tu veux essayer de te faire enculer ? » « Oui, je veux bien. » Je le retournai, lui fit mettre ses mains contre la cloison, et lui dénudai le cul. Deux jolies petites fesses. Je mouillai ma queue de salive et l’appuyai contre son anus. Je dus forcer, et quand je pénétrai, il poussa un cri de surprise et de douleur. Je lui plaçai une main sur ma bouche en lui demandant de rester silencieux, faute de quoi, on risquait d’être découvert. Je glissai doucement en lui, bien à fond. Entendant quelqu’un entrer dans les toilettes, je m’immobilisai. Au bout d’un moment, la personne repartit. Pendant ce moment de repos, son cul s’était habitué à la présence de sa bite. Je le baisai en douceur. Il éjacula assez vite. Je me retirai sans avoir joui. Je refermai ma braguette, et, pendant qu’il se reculottait, je jetai un œil à l’extérieur de la cabine. Désert. Je sortis donc des toilettes, et il me rejoignit. « J’ai bien aimé ! Tu veux qu’on recommence demain soir ? » « Tu ne t’en rends pas compte, mais après un dépucelage, tu vas avoir ton petit trou du cul bien irrité. D’accord pour se revoir, mais dans quelques jours. » Le soir suivant, j’étais fatigué, et sommeillais à poil sur mon lit. Vers 1h du matin, j’entends quelqu’un cogner doucement à la porte. En écartant légèrement le rideau de ma fenêtre, je vis que mon flic était de retour. Je me mis à bander, et allai lui ouvrir à poil. ...