Dans le train à vapeur (1)
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
Hétéro
... va être un vrai calvaire. En fait, tout en changeant de motrice, on ajoute trois wagons au train. Josette me prend par la main. –Prends mon sac et suis-moi. Je prends son sac, le mien, et je la suis vers le fond du train. Nous arrivons dans les derniers wagons qui viennent d’être attelés et qui sont encore vides. Tous les compartiments sont ouverts et vides, elle m’entraine au milieu du wagon pour en choisissons un. –C’est là qu’on est le moins secoué, au milieu du wagon. Elle ouvre la porte, nous fait entrer et ferme la porte. Elle sort une clé spéciale, verrouille la porte et baisse les rideaux du couloir. Nous sommes complètement isolés du reste du wagon. –D’où tu sors ça ? –Mon grand-père était contrôleur dans la société, je lui ai piqué une de ses clés. On peut faire ce que l’on veut, personne ne viendra nous emmerder, après Vierzon, il n’y aura plus de contrôle, j’ai vu descendre les contrôleurs. Nous sommes tranquilles jusqu’à Paris. –Pourquoi tu ne l’as pas utilisé tout à l’heure ? –Parce que il y avait trop de monde, quelqu’un aurait trouvé ça anormal et l’aurait déclaré au contrôleur. –Ok, tu es une petite maline toi. –Et oui. Il fait très chaud dans le compartiment, ici aussi, le chauffage fonctionne toujours à fond. J’essaie de voir si je peux l’arrêter, mais rien à faire, c’est commandé par un panneau central pour tout le wagon, lui aussi doit être bloqué. J’enlève ma veste. Elle enlève une veste en laine blanche, très légère. Je me détends et nous recommençons ...
... à discuter. Il y a plusieurs tentatives pour entrer, mais la porte reste fermée, nous pouvons rester seuls dans le compartiment. Je réalise que je ne l’ai même pas vu de plus de trente centimètres depuis le début de notre rencontre. Je peux enfin la détailler. C’est une très jolie fille, le haut de son corps remplissant dans de très belles proportions son corsage, assez grande, le teint très clair, presque translucide, très beaux yeux verts expressifs, cheveux châtain clair, longs, tombant en cascade jusqu’au milieu de son dos, des hanches bien dessinées, et, pour ce que j’en vois, de belles jambes. Elle est vêtue d’une jupe écossaise plissée arrivant juste au-dessus des genoux, d’un corsage rouge boutonné jusqu’en haut. Elle est assise en face de moi, nous discutons, mais j’ai une drôle d’impression, je trouve qu’elle en fait un peu trop. Elle bouge beaucoup sur sa banquette, et se faisant, me montre très souvent un peu plus que ses genoux. Sa jupe monte souvent jusqu’au niveau de sa culotte blanche. Je ne me plaints pas du spectacle, mais je me demande ou cela va se terminer. Le train repart, mais à ma grande surprise, nous avons toujours la même motrice, on voit la fumée par la fenêtre. J’entrouvre la fenêtre, et j’ai immédiatement la confirmation de mes soupçons en recevant des escarbilles sur le visage, je la referme prestement. –Descend le rideau. Nous quittons l’enceinte de la gare. Je descends le rideau et le verrouille. Nous sommes maintenant complètement isolés du ...